Chères collègues,
Chers collègues,
Ce Mot de la présidence est assurément le plus important que j’ai eu à vous écrire jusqu’à présent. Vous savez sans aucun doute que les prochains mois seront déterminants pour notre profession, et ce à plus d’un égard. La transition vers Santé Québec s’annonce laborieuse et nous aurons tous à faire preuve de leadership et d’implication dans nos milieux respectifs si l’on souhaite que les nouvelles orientations tiennent compte de nos patients, des ressources qui leur seront dédiées et de la place de la médecine pédiatrique dans l’univers complexe de la médecine spécialisée, face aux demandes croissantes d’une population vieillissante.
Par ailleurs, nos conditions de pratique et de rémunération seront directement influencées par l’aboutissement de 2 gros dossiers : (1) la renégociation de l’Accord-cadre entre le gouvernement et la FMSQ et (2) le chantier de la valeur relative des actes (VRA), amorcé par la FMSQ il y a plusieurs années, dont l’aboutissement est prévu au cours des prochains mois. En guise de rappel, la VRA a pour objectif d’assurer une harmonisation des tarifs pour que des actes d’une complexité similaire soient rémunérés de façon similaire parmi tous les médecins spécialistes. Soulignons également que pour la dernière année comptabilisée (2022-2023), le revenu moyen brut annuel de la spécialité la mieux rémunérée était 2,9 fois supérieur au revenu moyen brut annuel de la spécialité la moins rémunérée. En termes simples, résumons que certaines spécialités gagnent en 10 ans ce que d’autres gagnent en presque 30 ans. Sur 35 associations, les pédiatres se situent au 30e rang, nettement sous le revenu moyen de tous les médecins spécialistes.
Après 6 décennies au sein de la FMSQ, notre plus grand défi est encore de nous assurer que la réalité distincte de notre pratique et de nos patients et la complexité unique de notre travail sont reconnues, comprises et bien défendues dans le monde « adulte » dans lequel nous naviguons. La tâche n’est pas simple, et le mandat que vous nous avez unanimement confié lors de l’assemblée générale annuelle du 27 avril 2023, dans le but de défendre vos intérêts et de corriger les écarts injustifiés de rémunération, continue d’être une priorité pour nous.
Afin d’accéder aux outils nécessaires à ce mandat, nous avons absolument besoin de votre aide. Comme précisé dans l’Info APQ du 30 août dernier, vous serez sollicités au cours des prochains jours et des prochaines semaines pour 2 enquêtes.
La première concerne les pédiatres en cabinet, pour qui les coûts de fonctionnement ont explosé dans les dernières années, et dont la patientèle est toujours plus lourde et plus complexe. À la lecture des résultats du sondage maison portant sur le sujet auquel plus d’une centaine d’entre vous a répondu au début de l’été, nous constatons en effet une évolution importante de la proportion de ces frais par rapport au revenu des pédiatres. Nous devons ainsi passer à l’étape suivante afin d’étoffer l’argumentaire. Pour ce faire, nous avons mandaté la firme AppEco, spécialisée en la matière, pour faire une enquête économique, complètement confidentielle, qui quantifiera avec précision les coûts que les pédiatres doivent assumer à même leur revenu pour offrir aux enfants des services publics de qualité en cabinet. Cette firme a déjà effectué le travail pour d’autres associations de médecins spécialistes, et l’obtention rapide de ces données sera extrêmement importante si nous souhaitons défendre le soutien adéquat au fonctionnement des cabinets. Nous comptons sur vous pour nous aider à vous représenter!
La seconde enquête sera effectuée par la firme Léger, sur 4 semaines, et vise à quantifier tout le travail invisible, non rémunéré, que vous effectuez hebdomadairement. Nous savons que de nombreuses heures, voire des journées entières, sont souvent dédiées à du travail essentiel aux soins de vos patients, et que ce travail n’est associé à aucun acte. Tant que ce travail ne sera pas répertorié, non seulement vous ne serez pas rémunérés pour l’effectuer, mais sur papier, aux yeux de nos interlocuteurs, vous ne travaillez pas pendant ces heures. Il est temps que le fardeau de ce travail invisible soit pleinement reconnu, mais là encore, votre participation est indispensable. Nous savons que ce peut être fastidieux de tout noter, mais nous ne pourrons pas bien vous défendre sans ces informations précieuses. NOUS COMPTONS SUR CHACUN D’ENTRE VOUS!
Finalement, sur une note plus positive, je vous invite à lire la chronique de la Dre Du Pont-Thibodeau, qui partagera des nouveautés en facturation avec vous. En plus du signalement à la DPJ et des codes liés à Agir tôt obtenus dans la dernière année, la prochaine modification à la RAMQ implique des gains que nous avons réussi à obtenir pour votre facturation. Vous serez avisés au cours des prochaines semaines de la date prévue d’entrée en vigueur de ces nouveautés.
Encore une fois merci pour votre implication, pour votre confiance. Vos questions, vos suggestions et vos commentaires continuent d’alimenter les réflexions et les décisions de votre conseil d’administration. Nous comptons sur vous pour poursuivre cet échange toujours très riche.
Au plaisir de vous lire!
Dear Colleagues,
This Word from the President is definitely the most important one I have had to write up to now. You are undoubtedly aware that the next few months will be decisive for our profession in many regards. The transition to Santé Québec will be laborious and we will all have to show leadership and involvement in our respective areas if we want the new directions to account for our patients, for the resources that will be dedicated to them and for the place of pediatric medicine within the complex universe of specialized medicine, as we face the increasing demands of an ageing population.
Moreover, our conditions of practice and our remuneration will be directly impacted by two crucial dossiers: (1) the renegotiation of the Framework Agreement between the government and the FMSQ and (2) the VRA initiative (relative value of acts), launched by the FMSQ several years ago, whose completion is expected within the next few months. As a reminder, the objective of the VRA is to ensure rates are harmonized so that acts of similar complexity are remunerated at the same level amongst all medical specialists. Please note also that for the last year for which we have accounts (2022-2023), the average gross annual revenue of the most highly-paid specialty was 2.9 times higher than that of the lowest-paid specialty. In simple terms, we can say that some specialties earn in 10 years what others earn in nearly 30 years. Out of 35 associations, pediatricians are ranked 30th, clearly under the average revenue of all medical specialists.
After six decades within the FMSQ, our biggest challenge is still to ensure that the distinct reality of our practice and our patients, as well as the unique complexity of our work, are recognized, understood and properly defended in the "adult" world in which we navigate. The task is not simple and the mandate that you unanimously entrusted us with during the annual general meeting on April 27, 2023, with the aim of defending your interests and correcting the unjustified differentials in remuneration, continues to be a priority for us.
In order to access the tools necessary for this mandate, we absolutely need your help. As detailed in the August 30th Info APQ, you will be asked to take part in two surveys in coming days and weeks.
The first concerns pediatricians practicing in office, for whom operating costs have exploded in recent years and whose patient load is heavier and more complex. When referring to the results of an in-house survey on the subject, to which more than one hundred of you responded at the beginning of the summer, we notice an important evolution in the proportion of these costs versus pediatrician revenues. We must thus undertake the next step in order to strengthen our arguments. To do so, we mandated the specialized company, AppEco, to undertake an economic survey, which will be completely confidential, to quantify exactly the costs that pediatricians must cover from their own revenues in order to provide children with high quality public services in their offices. This company previously provided this type of service to other associations of medical specialists and the rapid collection of this data will be extremely important if we wish to defend an adequate support for the operation of such offices. We depend on you to help us represent you!
The second survey will be done by Léger Marketing, over a period of four weeks, with the objective of quantifying all of the invisible work, non remunerated, that you perform every week. We know that many hours, or even full days, are often dedicated to the essential work needed to care for your patients and that this work is not associated to any act. As long as this work is not officially recognized, not only will you not be remunerated for it, but, on paper and in the eyes of our counterparts, you are not working during these hours. It is time for the burden of this invisible work to be fully recognized, but here again, your participation is indispensable. We know that it can be time-consuming to take note of everything, but we will not be able to effectively defend your interests without these valuable details. WE ARE COUNTING ON EACH ONE OF YOU!
Finally, on a more positive note, I invite you to read Dr. Du Pont-Thibodeau's column in which she shares some billing news with you. In addition to reports to the Youth Protection Directorate and to the codes associated with Agir tôt approved during this last year, the next modification at the RAMQ involves gains which we have succeeded in obtaining for your billing. You will be notified in the next few weeks about the implementation of these gains.
Once again, thank you for your involvement and for your confidence in us. Your questions, suggestions and comments continue to nourish your Board of Directors' thinking and decisions. We are counting on you to pursue this very enriching exchange.
I look forward to reading your contributions!
Chères collègues,
Chers collègues,
Ce Mot de la présidence est assurément le plus important que j’ai eu à vous écrire jusqu’à présent. Vous savez sans aucun doute que les prochains mois seront déterminants pour notre profession, et ce à plus d’un égard. La transition vers Santé Québec s’annonce laborieuse et nous aurons tous à faire preuve de leadership et d’implication dans nos milieux respectifs si l’on souhaite que les nouvelles orientations tiennent compte de nos patients, des ressources qui leur seront dédiées et de la place de la médecine pédiatrique dans l’univers complexe de la médecine spécialisée, face aux demandes croissantes d’une population vieillissante.
Par ailleurs, nos conditions de pratique et de rémunération seront directement influencées par l’aboutissement de 2 gros dossiers : (1) la renégociation de l’Accord-cadre entre le gouvernement et la FMSQ et (2) le chantier de la valeur relative des actes (VRA), amorcé par la FMSQ il y a plusieurs années, dont l’aboutissement est prévu au cours des prochains mois. En guise de rappel, la VRA a pour objectif d’assurer une harmonisation des tarifs pour que des actes d’une complexité similaire soient rémunérés de façon similaire parmi tous les médecins spécialistes. Soulignons également que pour la dernière année comptabilisée (2022-2023), le revenu moyen brut annuel de la spécialité la mieux rémunérée était 2,9 fois supérieur au revenu moyen brut annuel de la spécialité la moins rémunérée. En termes simples, résumons que certaines spécialités gagnent en 10 ans ce que d’autres gagnent en presque 30 ans. Sur 35 associations, les pédiatres se situent au 30e rang, nettement sous le revenu moyen de tous les médecins spécialistes.
Après 6 décennies au sein de la FMSQ, notre plus grand défi est encore de nous assurer que la réalité distincte de notre pratique et de nos patients et la complexité unique de notre travail sont reconnues, comprises et bien défendues dans le monde « adulte » dans lequel nous naviguons. La tâche n’est pas simple, et le mandat que vous nous avez unanimement confié lors de l’assemblée générale annuelle du 27 avril 2023, dans le but de défendre vos intérêts et de corriger les écarts injustifiés de rémunération, continue d’être une priorité pour nous.
Afin d’accéder aux outils nécessaires à ce mandat, nous avons absolument besoin de votre aide. Comme précisé dans l’Info APQ du 30 août dernier, vous serez sollicités au cours des prochains jours et des prochaines semaines pour 2 enquêtes.
La première concerne les pédiatres en cabinet, pour qui les coûts de fonctionnement ont explosé dans les dernières années, et dont la patientèle est toujours plus lourde et plus complexe. À la lecture des résultats du sondage maison portant sur le sujet auquel plus d’une centaine d’entre vous a répondu au début de l’été, nous constatons en effet une évolution importante de la proportion de ces frais par rapport au revenu des pédiatres. Nous devons ainsi passer à l’étape suivante afin d’étoffer l’argumentaire. Pour ce faire, nous avons mandaté la firme AppEco, spécialisée en la matière, pour faire une enquête économique, complètement confidentielle, qui quantifiera avec précision les coûts que les pédiatres doivent assumer à même leur revenu pour offrir aux enfants des services publics de qualité en cabinet. Cette firme a déjà effectué le travail pour d’autres associations de médecins spécialistes, et l’obtention rapide de ces données sera extrêmement importante si nous souhaitons défendre le soutien adéquat au fonctionnement des cabinets. Nous comptons sur vous pour nous aider à vous représenter!
La seconde enquête sera effectuée par la firme Léger, sur 4 semaines, et vise à quantifier tout le travail invisible, non rémunéré, que vous effectuez hebdomadairement. Nous savons que de nombreuses heures, voire des journées entières, sont souvent dédiées à du travail essentiel aux soins de vos patients, et que ce travail n’est associé à aucun acte. Tant que ce travail ne sera pas répertorié, non seulement vous ne serez pas rémunérés pour l’effectuer, mais sur papier, aux yeux de nos interlocuteurs, vous ne travaillez pas pendant ces heures. Il est temps que le fardeau de ce travail invisible soit pleinement reconnu, mais là encore, votre participation est indispensable. Nous savons que ce peut être fastidieux de tout noter, mais nous ne pourrons pas bien vous défendre sans ces informations précieuses. NOUS COMPTONS SUR CHACUN D’ENTRE VOUS!
Finalement, sur une note plus positive, je vous invite à lire la chronique de la Dre Du Pont-Thibodeau, qui partagera des nouveautés en facturation avec vous. En plus du signalement à la DPJ et des codes liés à Agir tôt obtenus dans la dernière année, la prochaine modification à la RAMQ implique des gains que nous avons réussi à obtenir pour votre facturation. Vous serez avisés au cours des prochaines semaines de la date prévue d’entrée en vigueur de ces nouveautés.
Encore une fois merci pour votre implication, pour votre confiance. Vos questions, vos suggestions et vos commentaires continuent d’alimenter les réflexions et les décisions de votre conseil d’administration. Nous comptons sur vous pour poursuivre cet échange toujours très riche.
Au plaisir de vous lire!
Dear Colleagues,
This Word from the President is definitely the most important one I have had to write up to now. You are undoubtedly aware that the next few months will be decisive for our profession in many regards. The transition to Santé Québec will be laborious and we will all have to show leadership and involvement in our respective areas if we want the new directions to account for our patients, for the resources that will be dedicated to them and for the place of pediatric medicine within the complex universe of specialized medicine, as we face the increasing demands of an ageing population.
Moreover, our conditions of practice and our remuneration will be directly impacted by two crucial dossiers: (1) the renegotiation of the Framework Agreement between the government and the FMSQ and (2) the VRA initiative (relative value of acts), launched by the FMSQ several years ago, whose completion is expected within the next few months. As a reminder, the objective of the VRA is to ensure rates are harmonized so that acts of similar complexity are remunerated at the same level amongst all medical specialists. Please note also that for the last year for which we have accounts (2022-2023), the average gross annual revenue of the most highly-paid specialty was 2.9 times higher than that of the lowest-paid specialty. In simple terms, we can say that some specialties earn in 10 years what others earn in nearly 30 years. Out of 35 associations, pediatricians are ranked 30th, clearly under the average revenue of all medical specialists.
After six decades within the FMSQ, our biggest challenge is still to ensure that the distinct reality of our practice and our patients, as well as the unique complexity of our work, are recognized, understood and properly defended in the "adult" world in which we navigate. The task is not simple and the mandate that you unanimously entrusted us with during the annual general meeting on April 27, 2023, with the aim of defending your interests and correcting the unjustified differentials in remuneration, continues to be a priority for us.
In order to access the tools necessary for this mandate, we absolutely need your help. As detailed in the August 30th Info APQ, you will be asked to take part in two surveys in coming days and weeks.
The first concerns pediatricians practicing in office, for whom operating costs have exploded in recent years and whose patient load is heavier and more complex. When referring to the results of an in-house survey on the subject, to which more than one hundred of you responded at the beginning of the summer, we notice an important evolution in the proportion of these costs versus pediatrician revenues. We must thus undertake the next step in order to strengthen our arguments. To do so, we mandated the specialized company, AppEco, to undertake an economic survey, which will be completely confidential, to quantify exactly the costs that pediatricians must cover from their own revenues in order to provide children with high quality public services in their offices. This company previously provided this type of service to other associations of medical specialists and the rapid collection of this data will be extremely important if we wish to defend an adequate support for the operation of such offices. We depend on you to help us represent you!
The second survey will be done by Léger Marketing, over a period of four weeks, with the objective of quantifying all of the invisible work, non remunerated, that you perform every week. We know that many hours, or even full days, are often dedicated to the essential work needed to care for your patients and that this work is not associated to any act. As long as this work is not officially recognized, not only will you not be remunerated for it, but, on paper and in the eyes of our counterparts, you are not working during these hours. It is time for the burden of this invisible work to be fully recognized, but here again, your participation is indispensable. We know that it can be time-consuming to take note of everything, but we will not be able to effectively defend your interests without these valuable details. WE ARE COUNTING ON EACH ONE OF YOU!
Finally, on a more positive note, I invite you to read Dr. Du Pont-Thibodeau's column in which she shares some billing news with you. In addition to reports to the Youth Protection Directorate and to the codes associated with Agir tôt approved during this last year, the next modification at the RAMQ involves gains which we have succeeded in obtaining for your billing. You will be notified in the next few weeks about the implementation of these gains.
Once again, thank you for your involvement and for your confidence in us. Your questions, suggestions and comments continue to nourish your Board of Directors' thinking and decisions. We are counting on you to pursue this very enriching exchange.
I look forward to reading your contributions!
Chères collègues,
Chers collègues,
Ce Mot de la présidence est assurément le plus important que j’ai eu à vous écrire jusqu’à présent. Vous savez sans aucun doute que les prochains mois seront déterminants pour notre profession, et ce à plus d’un égard. La transition vers Santé Québec s’annonce laborieuse et nous aurons tous à faire preuve de leadership et d’implication dans nos milieux respectifs si l’on souhaite que les nouvelles orientations tiennent compte de nos patients, des ressources qui leur seront dédiées et de la place de la médecine pédiatrique dans l’univers complexe de la médecine spécialisée, face aux demandes croissantes d’une population vieillissante.
Par ailleurs, nos conditions de pratique et de rémunération seront directement influencées par l’aboutissement de 2 gros dossiers : (1) la renégociation de l’Accord-cadre entre le gouvernement et la FMSQ et (2) le chantier de la valeur relative des actes (VRA), amorcé par la FMSQ il y a plusieurs années, dont l’aboutissement est prévu au cours des prochains mois. En guise de rappel, la VRA a pour objectif d’assurer une harmonisation des tarifs pour que des actes d’une complexité similaire soient rémunérés de façon similaire parmi tous les médecins spécialistes. Soulignons également que pour la dernière année comptabilisée (2022-2023), le revenu moyen brut annuel de la spécialité la mieux rémunérée était 2,9 fois supérieur au revenu moyen brut annuel de la spécialité la moins rémunérée. En termes simples, résumons que certaines spécialités gagnent en 10 ans ce que d’autres gagnent en presque 30 ans. Sur 35 associations, les pédiatres se situent au 30e rang, nettement sous le revenu moyen de tous les médecins spécialistes.
Après 6 décennies au sein de la FMSQ, notre plus grand défi est encore de nous assurer que la réalité distincte de notre pratique et de nos patients et la complexité unique de notre travail sont reconnues, comprises et bien défendues dans le monde « adulte » dans lequel nous naviguons. La tâche n’est pas simple, et le mandat que vous nous avez unanimement confié lors de l’assemblée générale annuelle du 27 avril 2023, dans le but de défendre vos intérêts et de corriger les écarts injustifiés de rémunération, continue d’être une priorité pour nous.
Afin d’accéder aux outils nécessaires à ce mandat, nous avons absolument besoin de votre aide. Comme précisé dans l’Info APQ du 30 août dernier, vous serez sollicités au cours des prochains jours et des prochaines semaines pour 2 enquêtes.
La première concerne les pédiatres en cabinet, pour qui les coûts de fonctionnement ont explosé dans les dernières années, et dont la patientèle est toujours plus lourde et plus complexe. À la lecture des résultats du sondage maison portant sur le sujet auquel plus d’une centaine d’entre vous a répondu au début de l’été, nous constatons en effet une évolution importante de la proportion de ces frais par rapport au revenu des pédiatres. Nous devons ainsi passer à l’étape suivante afin d’étoffer l’argumentaire. Pour ce faire, nous avons mandaté la firme AppEco, spécialisée en la matière, pour faire une enquête économique, complètement confidentielle, qui quantifiera avec précision les coûts que les pédiatres doivent assumer à même leur revenu pour offrir aux enfants des services publics de qualité en cabinet. Cette firme a déjà effectué le travail pour d’autres associations de médecins spécialistes, et l’obtention rapide de ces données sera extrêmement importante si nous souhaitons défendre le soutien adéquat au fonctionnement des cabinets. Nous comptons sur vous pour nous aider à vous représenter!
La seconde enquête sera effectuée par la firme Léger, sur 4 semaines, et vise à quantifier tout le travail invisible, non rémunéré, que vous effectuez hebdomadairement. Nous savons que de nombreuses heures, voire des journées entières, sont souvent dédiées à du travail essentiel aux soins de vos patients, et que ce travail n’est associé à aucun acte. Tant que ce travail ne sera pas répertorié, non seulement vous ne serez pas rémunérés pour l’effectuer, mais sur papier, aux yeux de nos interlocuteurs, vous ne travaillez pas pendant ces heures. Il est temps que le fardeau de ce travail invisible soit pleinement reconnu, mais là encore, votre participation est indispensable. Nous savons que ce peut être fastidieux de tout noter, mais nous ne pourrons pas bien vous défendre sans ces informations précieuses. NOUS COMPTONS SUR CHACUN D’ENTRE VOUS!
Finalement, sur une note plus positive, je vous invite à lire la chronique de la Dre Du Pont-Thibodeau, qui partagera des nouveautés en facturation avec vous. En plus du signalement à la DPJ et des codes liés à Agir tôt obtenus dans la dernière année, la prochaine modification à la RAMQ implique des gains que nous avons réussi à obtenir pour votre facturation. Vous serez avisés au cours des prochaines semaines de la date prévue d’entrée en vigueur de ces nouveautés.
Encore une fois merci pour votre implication, pour votre confiance. Vos questions, vos suggestions et vos commentaires continuent d’alimenter les réflexions et les décisions de votre conseil d’administration. Nous comptons sur vous pour poursuivre cet échange toujours très riche.
Au plaisir de vous lire!
Dear Colleagues,
This Word from the President is definitely the most important one I have had to write up to now. You are undoubtedly aware that the next few months will be decisive for our profession in many regards. The transition to Santé Québec will be laborious and we will all have to show leadership and involvement in our respective areas if we want the new directions to account for our patients, for the resources that will be dedicated to them and for the place of pediatric medicine within the complex universe of specialized medicine, as we face the increasing demands of an ageing population.
Moreover, our conditions of practice and our remuneration will be directly impacted by two crucial dossiers: (1) the renegotiation of the Framework Agreement between the government and the FMSQ and (2) the VRA initiative (relative value of acts), launched by the FMSQ several years ago, whose completion is expected within the next few months. As a reminder, the objective of the VRA is to ensure rates are harmonized so that acts of similar complexity are remunerated at the same level amongst all medical specialists. Please note also that for the last year for which we have accounts (2022-2023), the average gross annual revenue of the most highly-paid specialty was 2.9 times higher than that of the lowest-paid specialty. In simple terms, we can say that some specialties earn in 10 years what others earn in nearly 30 years. Out of 35 associations, pediatricians are ranked 30th, clearly under the average revenue of all medical specialists.
After six decades within the FMSQ, our biggest challenge is still to ensure that the distinct reality of our practice and our patients, as well as the unique complexity of our work, are recognized, understood and properly defended in the "adult" world in which we navigate. The task is not simple and the mandate that you unanimously entrusted us with during the annual general meeting on April 27, 2023, with the aim of defending your interests and correcting the unjustified differentials in remuneration, continues to be a priority for us.
In order to access the tools necessary for this mandate, we absolutely need your help. As detailed in the August 30th Info APQ, you will be asked to take part in two surveys in coming days and weeks.
The first concerns pediatricians practicing in office, for whom operating costs have exploded in recent years and whose patient load is heavier and more complex. When referring to the results of an in-house survey on the subject, to which more than one hundred of you responded at the beginning of the summer, we notice an important evolution in the proportion of these costs versus pediatrician revenues. We must thus undertake the next step in order to strengthen our arguments. To do so, we mandated the specialized company, AppEco, to undertake an economic survey, which will be completely confidential, to quantify exactly the costs that pediatricians must cover from their own revenues in order to provide children with high quality public services in their offices. This company previously provided this type of service to other associations of medical specialists and the rapid collection of this data will be extremely important if we wish to defend an adequate support for the operation of such offices. We depend on you to help us represent you!
The second survey will be done by Léger Marketing, over a period of four weeks, with the objective of quantifying all of the invisible work, non remunerated, that you perform every week. We know that many hours, or even full days, are often dedicated to the essential work needed to care for your patients and that this work is not associated to any act. As long as this work is not officially recognized, not only will you not be remunerated for it, but, on paper and in the eyes of our counterparts, you are not working during these hours. It is time for the burden of this invisible work to be fully recognized, but here again, your participation is indispensable. We know that it can be time-consuming to take note of everything, but we will not be able to effectively defend your interests without these valuable details. WE ARE COUNTING ON EACH ONE OF YOU!
Finally, on a more positive note, I invite you to read Dr. Du Pont-Thibodeau's column in which she shares some billing news with you. In addition to reports to the Youth Protection Directorate and to the codes associated with Agir tôt approved during this last year, the next modification at the RAMQ involves gains which we have succeeded in obtaining for your billing. You will be notified in the next few weeks about the implementation of these gains.
Once again, thank you for your involvement and for your confidence in us. Your questions, suggestions and comments continue to nourish your Board of Directors' thinking and decisions. We are counting on you to pursue this very enriching exchange.
I look forward to reading your contributions!
Chères collègues,
Chers collègues,
Ce Mot de la présidence est assurément le plus important que j’ai eu à vous écrire jusqu’à présent. Vous savez sans aucun doute que les prochains mois seront déterminants pour notre profession, et ce à plus d’un égard. La transition vers Santé Québec s’annonce laborieuse et nous aurons tous à faire preuve de leadership et d’implication dans nos milieux respectifs si l’on souhaite que les nouvelles orientations tiennent compte de nos patients, des ressources qui leur seront dédiées et de la place de la médecine pédiatrique dans l’univers complexe de la médecine spécialisée, face aux demandes croissantes d’une population vieillissante.
Par ailleurs, nos conditions de pratique et de rémunération seront directement influencées par l’aboutissement de 2 gros dossiers : (1) la renégociation de l’Accord-cadre entre le gouvernement et la FMSQ et (2) le chantier de la valeur relative des actes (VRA), amorcé par la FMSQ il y a plusieurs années, dont l’aboutissement est prévu au cours des prochains mois. En guise de rappel, la VRA a pour objectif d’assurer une harmonisation des tarifs pour que des actes d’une complexité similaire soient rémunérés de façon similaire parmi tous les médecins spécialistes. Soulignons également que pour la dernière année comptabilisée (2022-2023), le revenu moyen brut annuel de la spécialité la mieux rémunérée était 2,9 fois supérieur au revenu moyen brut annuel de la spécialité la moins rémunérée. En termes simples, résumons que certaines spécialités gagnent en 10 ans ce que d’autres gagnent en presque 30 ans. Sur 35 associations, les pédiatres se situent au 30e rang, nettement sous le revenu moyen de tous les médecins spécialistes.
Après 6 décennies au sein de la FMSQ, notre plus grand défi est encore de nous assurer que la réalité distincte de notre pratique et de nos patients et la complexité unique de notre travail sont reconnues, comprises et bien défendues dans le monde « adulte » dans lequel nous naviguons. La tâche n’est pas simple, et le mandat que vous nous avez unanimement confié lors de l’assemblée générale annuelle du 27 avril 2023, dans le but de défendre vos intérêts et de corriger les écarts injustifiés de rémunération, continue d’être une priorité pour nous.
Afin d’accéder aux outils nécessaires à ce mandat, nous avons absolument besoin de votre aide. Comme précisé dans l’Info APQ du 30 août dernier, vous serez sollicités au cours des prochains jours et des prochaines semaines pour 2 enquêtes.
La première concerne les pédiatres en cabinet, pour qui les coûts de fonctionnement ont explosé dans les dernières années, et dont la patientèle est toujours plus lourde et plus complexe. À la lecture des résultats du sondage maison portant sur le sujet auquel plus d’une centaine d’entre vous a répondu au début de l’été, nous constatons en effet une évolution importante de la proportion de ces frais par rapport au revenu des pédiatres. Nous devons ainsi passer à l’étape suivante afin d’étoffer l’argumentaire. Pour ce faire, nous avons mandaté la firme AppEco, spécialisée en la matière, pour faire une enquête économique, complètement confidentielle, qui quantifiera avec précision les coûts que les pédiatres doivent assumer à même leur revenu pour offrir aux enfants des services publics de qualité en cabinet. Cette firme a déjà effectué le travail pour d’autres associations de médecins spécialistes, et l’obtention rapide de ces données sera extrêmement importante si nous souhaitons défendre le soutien adéquat au fonctionnement des cabinets. Nous comptons sur vous pour nous aider à vous représenter!
La seconde enquête sera effectuée par la firme Léger, sur 4 semaines, et vise à quantifier tout le travail invisible, non rémunéré, que vous effectuez hebdomadairement. Nous savons que de nombreuses heures, voire des journées entières, sont souvent dédiées à du travail essentiel aux soins de vos patients, et que ce travail n’est associé à aucun acte. Tant que ce travail ne sera pas répertorié, non seulement vous ne serez pas rémunérés pour l’effectuer, mais sur papier, aux yeux de nos interlocuteurs, vous ne travaillez pas pendant ces heures. Il est temps que le fardeau de ce travail invisible soit pleinement reconnu, mais là encore, votre participation est indispensable. Nous savons que ce peut être fastidieux de tout noter, mais nous ne pourrons pas bien vous défendre sans ces informations précieuses. NOUS COMPTONS SUR CHACUN D’ENTRE VOUS!
Finalement, sur une note plus positive, je vous invite à lire la chronique de la Dre Du Pont-Thibodeau, qui partagera des nouveautés en facturation avec vous. En plus du signalement à la DPJ et des codes liés à Agir tôt obtenus dans la dernière année, la prochaine modification à la RAMQ implique des gains que nous avons réussi à obtenir pour votre facturation. Vous serez avisés au cours des prochaines semaines de la date prévue d’entrée en vigueur de ces nouveautés.
Encore une fois merci pour votre implication, pour votre confiance. Vos questions, vos suggestions et vos commentaires continuent d’alimenter les réflexions et les décisions de votre conseil d’administration. Nous comptons sur vous pour poursuivre cet échange toujours très riche.
Au plaisir de vous lire!
Dear Colleagues,
This Word from the President is definitely the most important one I have had to write up to now. You are undoubtedly aware that the next few months will be decisive for our profession in many regards. The transition to Santé Québec will be laborious and we will all have to show leadership and involvement in our respective areas if we want the new directions to account for our patients, for the resources that will be dedicated to them and for the place of pediatric medicine within the complex universe of specialized medicine, as we face the increasing demands of an ageing population.
Moreover, our conditions of practice and our remuneration will be directly impacted by two crucial dossiers: (1) the renegotiation of the Framework Agreement between the government and the FMSQ and (2) the VRA initiative (relative value of acts), launched by the FMSQ several years ago, whose completion is expected within the next few months. As a reminder, the objective of the VRA is to ensure rates are harmonized so that acts of similar complexity are remunerated at the same level amongst all medical specialists. Please note also that for the last year for which we have accounts (2022-2023), the average gross annual revenue of the most highly-paid specialty was 2.9 times higher than that of the lowest-paid specialty. In simple terms, we can say that some specialties earn in 10 years what others earn in nearly 30 years. Out of 35 associations, pediatricians are ranked 30th, clearly under the average revenue of all medical specialists.
After six decades within the FMSQ, our biggest challenge is still to ensure that the distinct reality of our practice and our patients, as well as the unique complexity of our work, are recognized, understood and properly defended in the "adult" world in which we navigate. The task is not simple and the mandate that you unanimously entrusted us with during the annual general meeting on April 27, 2023, with the aim of defending your interests and correcting the unjustified differentials in remuneration, continues to be a priority for us.
In order to access the tools necessary for this mandate, we absolutely need your help. As detailed in the August 30th Info APQ, you will be asked to take part in two surveys in coming days and weeks.
The first concerns pediatricians practicing in office, for whom operating costs have exploded in recent years and whose patient load is heavier and more complex. When referring to the results of an in-house survey on the subject, to which more than one hundred of you responded at the beginning of the summer, we notice an important evolution in the proportion of these costs versus pediatrician revenues. We must thus undertake the next step in order to strengthen our arguments. To do so, we mandated the specialized company, AppEco, to undertake an economic survey, which will be completely confidential, to quantify exactly the costs that pediatricians must cover from their own revenues in order to provide children with high quality public services in their offices. This company previously provided this type of service to other associations of medical specialists and the rapid collection of this data will be extremely important if we wish to defend an adequate support for the operation of such offices. We depend on you to help us represent you!
The second survey will be done by Léger Marketing, over a period of four weeks, with the objective of quantifying all of the invisible work, non remunerated, that you perform every week. We know that many hours, or even full days, are often dedicated to the essential work needed to care for your patients and that this work is not associated to any act. As long as this work is not officially recognized, not only will you not be remunerated for it, but, on paper and in the eyes of our counterparts, you are not working during these hours. It is time for the burden of this invisible work to be fully recognized, but here again, your participation is indispensable. We know that it can be time-consuming to take note of everything, but we will not be able to effectively defend your interests without these valuable details. WE ARE COUNTING ON EACH ONE OF YOU!
Finally, on a more positive note, I invite you to read Dr. Du Pont-Thibodeau's column in which she shares some billing news with you. In addition to reports to the Youth Protection Directorate and to the codes associated with Agir tôt approved during this last year, the next modification at the RAMQ involves gains which we have succeeded in obtaining for your billing. You will be notified in the next few weeks about the implementation of these gains.
Once again, thank you for your involvement and for your confidence in us. Your questions, suggestions and comments continue to nourish your Board of Directors' thinking and decisions. We are counting on you to pursue this very enriching exchange.
I look forward to reading your contributions!
Bonjour à tous,
J’espère que vous profitez de cette fin de saison estivale! L’automne s’annonce chargé, donc profitons de ces derniers moments de chaleur pour refaire nos réserves d’énergie.
Voici quelques nouvelles en facturation :
La seconde moitié de la Modification 111 est entrée en vigueur le 25 juillet dernier. L’Infolettre 127 comporte beaucoup d’information, mais j’attire votre attention au point 3.1. Le libellé se lit comme suit : « Un signalement à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) peut être effectué par tout médecin spécialiste, peu importe sa spécialité. De plus, les services liés à un signalement (codes de facturation 98020 et 98021) sont payables en plus de toute autre rémunération. ». Le 98021 est facturable en cabinet privé tandis que le 98020 est payé 60 % en rémunération mixte. Comme annoncé en octobre dernier, ce changement est rétroactif au 1er novembre 2023.
À la section 2.4 de la Modification 111 (voir l’Infolettre 127), un nouveau code d’intubation a été créé. Il s’agit du code 00518. Le libellé se lit comme suit : « intubation endotrachéale toutes méthodes (PG_23) (PG_28) ». Chose importante à noter : ce code est facturable dans les unités d’hospitalisation et en salle d’urgence. Il n’est pas facturable dans les unités de soins intensifs, pédiatriques ou néonatales. Cette restriction est liée au lieu de dispensation, pas au type de professionnel. Nous espérons faire tomber cette limitation (injustifiée à notre avis) dans un avenir rapproché, mais pour le moment, elle demeure en vigueur.
Nous avons appris récemment que le différend entre les médecins spécialistes et la RAMQ est résolu (voir Le Point, édition du 29 août 2024). Voici ce que la communication de la FMSQ précise : « le contact physique avec le patient — ou un toucher de patient — n’est pas une exigence pour la facturation d’une visite principale ou d’une visite en médecine d’urgence ». Il revient donc à vous de déterminer si l’examen physique de votre patient est nécessaire dans le cadre de votre visite.
Nous avons annoncé lors du dernier congrès la diffusion d’un nouvel outil de facturation. L’outil est terminé, mais la section « membre » du nouveau site internet est toujours en chantier. Le tout devrait être prêt plus tard cet automne. Nous vous en tiendrons bien sûr informés.
Surveillez bien la publication de la Modification 114 via les infolettres de la RAMQ : celle-ci devrait comporter certains changements qui concernent la pédiatrie. Parmi ceux-ci :
• L’ADOS et l’ADI-R devraient être accessibles même en dehors du programme Agir Tôt;
• L’exclusion en lien avec l’utilisation du code 15543 pour les autres médecins qui voient le même patient le même jour devrait être retirée;
• Le tarif psychosocial en hospitalisation devrait être facturable par tranche de 15 minutes;
• L’addendum 11 du Manuel des services de laboratoire en établissement comportant la tarification des épreuves de fonction respiratoire devrait devenir accessible aux pédiatres et;
• La visite pour patient sous chimiothérapie, greffé ou immunosupprimé primaire ou secondaire devrait devenir facturable en cabinet.
Pour que ce soit bien clair : ces changements ne sont pas encore officiels, il n’y a pas de date de rétroactivité annoncée, et il n’est donc pas possible pour le moment de les facturer. Nous vous tiendrons informés dès que nous aurons plus d’information sur la potentielle rétroactivité de certains de ces codes.
Sur ce, merci à tous ceux qui nous écrivent pour nous poser des questions ou pour souligner des zones d’ombre qui concernent notre facturation. Ceci nous permet de progresser dans l’évolution de nos codes de facturation et de préciser nos demandes. N’hésitez pas à communiquer avec nous! C’est grâce à votre engagement que nous continuerons à avancer.
Bonjour à tous,
J’espère que vous profitez de cette fin de saison estivale! L’automne s’annonce chargé, donc profitons de ces derniers moments de chaleur pour refaire nos réserves d’énergie.
Voici quelques nouvelles en facturation :
La seconde moitié de la Modification 111 est entrée en vigueur le 25 juillet dernier. L’Infolettre 127 comporte beaucoup d’information, mais j’attire votre attention au point 3.1. Le libellé se lit comme suit : « Un signalement à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) peut être effectué par tout médecin spécialiste, peu importe sa spécialité. De plus, les services liés à un signalement (codes de facturation 98020 et 98021) sont payables en plus de toute autre rémunération. ». Le 98021 est facturable en cabinet privé tandis que le 98020 est payé 60 % en rémunération mixte. Comme annoncé en octobre dernier, ce changement est rétroactif au 1er novembre 2023.
À la section 2.4 de la Modification 111 (voir l’Infolettre 127), un nouveau code d’intubation a été créé. Il s’agit du code 00518. Le libellé se lit comme suit : « intubation endotrachéale toutes méthodes (PG_23) (PG_28) ». Chose importante à noter : ce code est facturable dans les unités d’hospitalisation et en salle d’urgence. Il n’est pas facturable dans les unités de soins intensifs, pédiatriques ou néonatales. Cette restriction est liée au lieu de dispensation, pas au type de professionnel. Nous espérons faire tomber cette limitation (injustifiée à notre avis) dans un avenir rapproché, mais pour le moment, elle demeure en vigueur.
Nous avons appris récemment que le différend entre les médecins spécialistes et la RAMQ est résolu (voir Le Point, édition du 29 août 2024). Voici ce que la communication de la FMSQ précise : « le contact physique avec le patient — ou un toucher de patient — n’est pas une exigence pour la facturation d’une visite principale ou d’une visite en médecine d’urgence ». Il revient donc à vous de déterminer si l’examen physique de votre patient est nécessaire dans le cadre de votre visite.
Nous avons annoncé lors du dernier congrès la diffusion d’un nouvel outil de facturation. L’outil est terminé, mais la section « membre » du nouveau site internet est toujours en chantier. Le tout devrait être prêt plus tard cet automne. Nous vous en tiendrons bien sûr informés.
Surveillez bien la publication de la Modification 114 via les infolettres de la RAMQ : celle-ci devrait comporter certains changements qui concernent la pédiatrie. Parmi ceux-ci :
• L’ADOS et l’ADI-R devraient être accessibles même en dehors du programme Agir Tôt;
• L’exclusion en lien avec l’utilisation du code 15543 pour les autres médecins qui voient le même patient le même jour devrait être retirée;
• Le tarif psychosocial en hospitalisation devrait être facturable par tranche de 15 minutes;
• L’addendum 11 du Manuel des services de laboratoire en établissement comportant la tarification des épreuves de fonction respiratoire devrait devenir accessible aux pédiatres et;
• La visite pour patient sous chimiothérapie, greffé ou immunosupprimé primaire ou secondaire devrait devenir facturable en cabinet.
Pour que ce soit bien clair : ces changements ne sont pas encore officiels, il n’y a pas de date de rétroactivité annoncée, et il n’est donc pas possible pour le moment de les facturer. Nous vous tiendrons informés dès que nous aurons plus d’information sur la potentielle rétroactivité de certains de ces codes.
Sur ce, merci à tous ceux qui nous écrivent pour nous poser des questions ou pour souligner des zones d’ombre qui concernent notre facturation. Ceci nous permet de progresser dans l’évolution de nos codes de facturation et de préciser nos demandes. N’hésitez pas à communiquer avec nous! C’est grâce à votre engagement que nous continuerons à avancer.
Bonjour à tous,
J’espère que vous profitez de cette fin de saison estivale! L’automne s’annonce chargé, donc profitons de ces derniers moments de chaleur pour refaire nos réserves d’énergie.
Voici quelques nouvelles en facturation :
La seconde moitié de la Modification 111 est entrée en vigueur le 25 juillet dernier. L’Infolettre 127 comporte beaucoup d’information, mais j’attire votre attention au point 3.1. Le libellé se lit comme suit : « Un signalement à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) peut être effectué par tout médecin spécialiste, peu importe sa spécialité. De plus, les services liés à un signalement (codes de facturation 98020 et 98021) sont payables en plus de toute autre rémunération. ». Le 98021 est facturable en cabinet privé tandis que le 98020 est payé 60 % en rémunération mixte. Comme annoncé en octobre dernier, ce changement est rétroactif au 1er novembre 2023.
À la section 2.4 de la Modification 111 (voir l’Infolettre 127), un nouveau code d’intubation a été créé. Il s’agit du code 00518. Le libellé se lit comme suit : « intubation endotrachéale toutes méthodes (PG_23) (PG_28) ». Chose importante à noter : ce code est facturable dans les unités d’hospitalisation et en salle d’urgence. Il n’est pas facturable dans les unités de soins intensifs, pédiatriques ou néonatales. Cette restriction est liée au lieu de dispensation, pas au type de professionnel. Nous espérons faire tomber cette limitation (injustifiée à notre avis) dans un avenir rapproché, mais pour le moment, elle demeure en vigueur.
Nous avons appris récemment que le différend entre les médecins spécialistes et la RAMQ est résolu (voir Le Point, édition du 29 août 2024). Voici ce que la communication de la FMSQ précise : « le contact physique avec le patient — ou un toucher de patient — n’est pas une exigence pour la facturation d’une visite principale ou d’une visite en médecine d’urgence ». Il revient donc à vous de déterminer si l’examen physique de votre patient est nécessaire dans le cadre de votre visite.
Nous avons annoncé lors du dernier congrès la diffusion d’un nouvel outil de facturation. L’outil est terminé, mais la section « membre » du nouveau site internet est toujours en chantier. Le tout devrait être prêt plus tard cet automne. Nous vous en tiendrons bien sûr informés.
Surveillez bien la publication de la Modification 114 via les infolettres de la RAMQ : celle-ci devrait comporter certains changements qui concernent la pédiatrie. Parmi ceux-ci :
• L’ADOS et l’ADI-R devraient être accessibles même en dehors du programme Agir Tôt;
• L’exclusion en lien avec l’utilisation du code 15543 pour les autres médecins qui voient le même patient le même jour devrait être retirée;
• Le tarif psychosocial en hospitalisation devrait être facturable par tranche de 15 minutes;
• L’addendum 11 du Manuel des services de laboratoire en établissement comportant la tarification des épreuves de fonction respiratoire devrait devenir accessible aux pédiatres et;
• La visite pour patient sous chimiothérapie, greffé ou immunosupprimé primaire ou secondaire devrait devenir facturable en cabinet.
Pour que ce soit bien clair : ces changements ne sont pas encore officiels, il n’y a pas de date de rétroactivité annoncée, et il n’est donc pas possible pour le moment de les facturer. Nous vous tiendrons informés dès que nous aurons plus d’information sur la potentielle rétroactivité de certains de ces codes.
Sur ce, merci à tous ceux qui nous écrivent pour nous poser des questions ou pour souligner des zones d’ombre qui concernent notre facturation. Ceci nous permet de progresser dans l’évolution de nos codes de facturation et de préciser nos demandes. N’hésitez pas à communiquer avec nous! C’est grâce à votre engagement que nous continuerons à avancer.
Bonjour à tous,
J’espère que vous profitez de cette fin de saison estivale! L’automne s’annonce chargé, donc profitons de ces derniers moments de chaleur pour refaire nos réserves d’énergie.
Voici quelques nouvelles en facturation :
La seconde moitié de la Modification 111 est entrée en vigueur le 25 juillet dernier. L’Infolettre 127 comporte beaucoup d’information, mais j’attire votre attention au point 3.1. Le libellé se lit comme suit : « Un signalement à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) peut être effectué par tout médecin spécialiste, peu importe sa spécialité. De plus, les services liés à un signalement (codes de facturation 98020 et 98021) sont payables en plus de toute autre rémunération. ». Le 98021 est facturable en cabinet privé tandis que le 98020 est payé 60 % en rémunération mixte. Comme annoncé en octobre dernier, ce changement est rétroactif au 1er novembre 2023.
À la section 2.4 de la Modification 111 (voir l’Infolettre 127), un nouveau code d’intubation a été créé. Il s’agit du code 00518. Le libellé se lit comme suit : « intubation endotrachéale toutes méthodes (PG_23) (PG_28) ». Chose importante à noter : ce code est facturable dans les unités d’hospitalisation et en salle d’urgence. Il n’est pas facturable dans les unités de soins intensifs, pédiatriques ou néonatales. Cette restriction est liée au lieu de dispensation, pas au type de professionnel. Nous espérons faire tomber cette limitation (injustifiée à notre avis) dans un avenir rapproché, mais pour le moment, elle demeure en vigueur.
Nous avons appris récemment que le différend entre les médecins spécialistes et la RAMQ est résolu (voir Le Point, édition du 29 août 2024). Voici ce que la communication de la FMSQ précise : « le contact physique avec le patient — ou un toucher de patient — n’est pas une exigence pour la facturation d’une visite principale ou d’une visite en médecine d’urgence ». Il revient donc à vous de déterminer si l’examen physique de votre patient est nécessaire dans le cadre de votre visite.
Nous avons annoncé lors du dernier congrès la diffusion d’un nouvel outil de facturation. L’outil est terminé, mais la section « membre » du nouveau site internet est toujours en chantier. Le tout devrait être prêt plus tard cet automne. Nous vous en tiendrons bien sûr informés.
Surveillez bien la publication de la Modification 114 via les infolettres de la RAMQ : celle-ci devrait comporter certains changements qui concernent la pédiatrie. Parmi ceux-ci :
• L’ADOS et l’ADI-R devraient être accessibles même en dehors du programme Agir Tôt;
• L’exclusion en lien avec l’utilisation du code 15543 pour les autres médecins qui voient le même patient le même jour devrait être retirée;
• Le tarif psychosocial en hospitalisation devrait être facturable par tranche de 15 minutes;
• L’addendum 11 du Manuel des services de laboratoire en établissement comportant la tarification des épreuves de fonction respiratoire devrait devenir accessible aux pédiatres et;
• La visite pour patient sous chimiothérapie, greffé ou immunosupprimé primaire ou secondaire devrait devenir facturable en cabinet.
Pour que ce soit bien clair : ces changements ne sont pas encore officiels, il n’y a pas de date de rétroactivité annoncée, et il n’est donc pas possible pour le moment de les facturer. Nous vous tiendrons informés dès que nous aurons plus d’information sur la potentielle rétroactivité de certains de ces codes.
Sur ce, merci à tous ceux qui nous écrivent pour nous poser des questions ou pour souligner des zones d’ombre qui concernent notre facturation. Ceci nous permet de progresser dans l’évolution de nos codes de facturation et de préciser nos demandes. N’hésitez pas à communiquer avec nous! C’est grâce à votre engagement que nous continuerons à avancer.
Nous espérons que la période estivale a été douce et reposante pour chacun d’entre vous. Votre comité de DPC s’est, quant à lui, déjà remis au travail afin de vous préparer des activités à la hauteur de vos attentes.
Dans le but de consolider vos connaissances, vous serez invités d’ici quelques jours à reprendre le même exercice effectué lors du mini-symposium de section 3 (évaluation de la pratique) sur la médecine néonatale tenu dans le cadre du congrès 2024. Que vous ayez participé ou non à cet exercice en avril, cette activité vous permettra d’acquérir 1,50 h de formation pour des crédits de section 3 en plus de parfaire vos connaissances. Peut-être serez-vous également incités à relire sur certains sujets que vous avez oubliés. De notre côté, nous pourrons en extraire des statistiques qui nous permettront d’améliorer la qualité des formations scientifiques que nous vous offrons.
Vous recevrez également une étude d’impact en lien avec le congrès 2024 afin d’évaluer si vous avez apporté un ou des changements à votre pratique professionnelle à la suite de la tenue de notre activité. Nous vous invitons donc à participer en grand nombre à ces activités post congrès!
Le prochain congrès de l’APQ se tiendra dans un format hybride soit en présentiel au Château Laurier de Québec et en mode virtuel, les 1er et 2 mai 2025. En raison des frais techniques importants liés à la rediffusion, seulement deux ateliers seront diffusés en ligne. Les participants en mode virtuel ne pourront donc pas choisir les ateliers auxquels ils participeront. Votre comité DPC se réunira sous peu afin d’élaborer le contenu de cette édition 2025. Il est encore temps de nous faire parvenir vos suggestions de sujets et de conférenciers en suivant ce lien : https://www.pediatres.ca/membres/suggestions-en-dpc/.
Nous vous invitons à vous inscrire aux JFI 2024 qui auront lieu au Palais des congrès de Montréal les 15-16 novembre 2024.Deux séances d’intérêt pédiatrique seront présentées : Prendre soin des patients qui ont un trouble du spectre de l’autisme et Pandémie : des médecins préparés. Ce sera une excellente occasion de parfaire vos connaissances sur divers sujets. Réservez vos journées, de plus amples informations suivront lorsqu’elles seront disponibles. Découvrez le programme en cliquant sur le lien suivant et inscrivez-vous dès maintenant : https://dashboard.pairconnex.app/ticketing/order/daa99022-221a-49bc-b81e-724acc48e8ce.
Retrouvez notre nouveau questionnaire thématique ayant pour titre Fièvre chez les nouveau-nés disponible sur la plateforme Méduse. Vous pourrez y accéder en passant par le site Internet de la FMSQ (https://www.fmsq.org/fr/). Connectez-vous à Méduse et tapez le mot clé « fièvre49 » dans la barre de recherche pour le trouver. Une fois l’activité terminée, vous pourrez consigner 30 minutes d’activité d’évaluation de la pratique reconnue (section 3). Ne manquez pas cette chance de réviser la prise en charge des nouveau-nés avec fièvre : cela pourrait changer votre pratique significativement!
En réponse à une forte demande, le 23 septembre à midi, nous vous présenterons un webinaire sur la coqueluche avec le Dr Jesse Papenburg. Si ce n'est déjà fait, inscrivez-vous dès maintenant en cliquant sur le lien suivant : https://us02web.zoom.us/webinar/register/WN_a1uIDXfpTvSj-bMJ7WegYA.
Voici deux recommandations de présentation que vous pouvez retrouver sur Méduse, la plateforme de formation médicale continue de la FMSQ.
Les infections ORL ainsi que leurs complications sont bien présentes chez notre clientèle pédiatrique. Que ce soit l’abcès périamygdalien, la mastoïdite, l’abcès dentaire ou des présentations cliniques plus rares telles que l’angine de Ludwig, la tumeur de Pott (Pott’s puffy tumor), etc., il est important de pouvoir diagnostiquer ces infections et éliminer leurs complications afin d’avoir une prise en charge et un traitement optimal. La présentation Urgences ORL par la Dre Marie-Constance Lacasse, neuroradiologiste au CUSM, consiste en une révision des infections ORL ainsi que de leurs complications. Durée 45 minutes, Section 2/Catégorie C.
La transition et le transfert des soins aux équipes adultes de notre clientèle avec maladie chronique demeurent un défi. Connaissez-vous la différence entre la transition des soins et le transfert des soins ? Un consensus canadien sur la transition des adolescents et jeunes adultes atteints de maladie inflammatoire intestinale des soins pédiatriques aux soins adultes a été établi. La présentation de la Dre Jessica Breton, gastro-entérologue pédiatrique au CHU St-Justine, Comment assurer une transition harmonieuse enfant adulte en MII? permet de réfléchir et d’établir des procédures afin de faciliter une transition et un transfert harmonieux des soins médicaux après l’âge de 18 ans. Durée 30 minutes, Section1/Catégorie A.
En terminant, je tiens à remercier sincèrement le Dr Rémy Lamontagne, représentant des résidents au sein du comité de DPC lors de l’exercice 2023-2024, pour son engagement, son travail et sa disponibilité. J’en profite également pour souhaiter la bienvenue à la Dre Anne Dumas qui sera la nouvelle représentante des résidents au sein du comité pour l’exercice 2024-2025.
Nous avons hâte de vous retrouver à l’occasion des JFI en novembre 2024. C’est un rendez-vous!
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La mission du comité de DPC de l’APQ est d’aider le pédiatre du Québec à maintenir et à améliorer sa compétence dans le champ d’expertise qui lui est propre afin d’offrir à la population québécoise les plus hauts standards en matière de qualité en ce qui a trait à la pratique de la pédiatrie.
L’objectif principal du DPC de l’APQ est d’offrir à ses membres les plus hauts standards en matière de développement professionnel continu tout en suscitant au maximum leur intérêt pour le maintien de leur compétence. Retrouvez l’énoncé de mission complet ainsi que tous les objectifs du comité de DPC sur le site Internet de l’APQ au www.pediatres.ca.
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Nous espérons que la période estivale a été douce et reposante pour chacun d’entre vous. Votre comité de DPC s’est, quant à lui, déjà remis au travail afin de vous préparer des activités à la hauteur de vos attentes.
Dans le but de consolider vos connaissances, vous serez invités d’ici quelques jours à reprendre le même exercice effectué lors du mini-symposium de section 3 (évaluation de la pratique) sur la médecine néonatale tenu dans le cadre du congrès 2024. Que vous ayez participé ou non à cet exercice en avril, cette activité vous permettra d’acquérir 1,50 h de formation pour des crédits de section 3 en plus de parfaire vos connaissances. Peut-être serez-vous également incités à relire sur certains sujets que vous avez oubliés. De notre côté, nous pourrons en extraire des statistiques qui nous permettront d’améliorer la qualité des formations scientifiques que nous vous offrons.
Vous recevrez également une étude d’impact en lien avec le congrès 2024 afin d’évaluer si vous avez apporté un ou des changements à votre pratique professionnelle à la suite de la tenue de notre activité. Nous vous invitons donc à participer en grand nombre à ces activités post congrès!
Le prochain congrès de l’APQ se tiendra dans un format hybride soit en présentiel au Château Laurier de Québec et en mode virtuel, les 1er et 2 mai 2025. En raison des frais techniques importants liés à la rediffusion, seulement deux ateliers seront diffusés en ligne. Les participants en mode virtuel ne pourront donc pas choisir les ateliers auxquels ils participeront. Votre comité DPC se réunira sous peu afin d’élaborer le contenu de cette édition 2025. Il est encore temps de nous faire parvenir vos suggestions de sujets et de conférenciers en suivant ce lien : https://www.pediatres.ca/membres/suggestions-en-dpc/.
Nous vous invitons à vous inscrire aux JFI 2024 qui auront lieu au Palais des congrès de Montréal les 15-16 novembre 2024.Deux séances d’intérêt pédiatrique seront présentées : Prendre soin des patients qui ont un trouble du spectre de l’autisme et Pandémie : des médecins préparés. Ce sera une excellente occasion de parfaire vos connaissances sur divers sujets. Réservez vos journées, de plus amples informations suivront lorsqu’elles seront disponibles. Découvrez le programme en cliquant sur le lien suivant et inscrivez-vous dès maintenant : https://dashboard.pairconnex.app/ticketing/order/daa99022-221a-49bc-b81e-724acc48e8ce.
Retrouvez notre nouveau questionnaire thématique ayant pour titre Fièvre chez les nouveau-nés disponible sur la plateforme Méduse. Vous pourrez y accéder en passant par le site Internet de la FMSQ (https://www.fmsq.org/fr/). Connectez-vous à Méduse et tapez le mot clé « fièvre49 » dans la barre de recherche pour le trouver. Une fois l’activité terminée, vous pourrez consigner 30 minutes d’activité d’évaluation de la pratique reconnue (section 3). Ne manquez pas cette chance de réviser la prise en charge des nouveau-nés avec fièvre : cela pourrait changer votre pratique significativement!
En réponse à une forte demande, le 23 septembre à midi, nous vous présenterons un webinaire sur la coqueluche avec le Dr Jesse Papenburg. Si ce n'est déjà fait, inscrivez-vous dès maintenant en cliquant sur le lien suivant : https://us02web.zoom.us/webinar/register/WN_a1uIDXfpTvSj-bMJ7WegYA.
Voici deux recommandations de présentation que vous pouvez retrouver sur Méduse, la plateforme de formation médicale continue de la FMSQ.
Les infections ORL ainsi que leurs complications sont bien présentes chez notre clientèle pédiatrique. Que ce soit l’abcès périamygdalien, la mastoïdite, l’abcès dentaire ou des présentations cliniques plus rares telles que l’angine de Ludwig, la tumeur de Pott (Pott’s puffy tumor), etc., il est important de pouvoir diagnostiquer ces infections et éliminer leurs complications afin d’avoir une prise en charge et un traitement optimal. La présentation Urgences ORL par la Dre Marie-Constance Lacasse, neuroradiologiste au CUSM, consiste en une révision des infections ORL ainsi que de leurs complications. Durée 45 minutes, Section 2/Catégorie C.
La transition et le transfert des soins aux équipes adultes de notre clientèle avec maladie chronique demeurent un défi. Connaissez-vous la différence entre la transition des soins et le transfert des soins ? Un consensus canadien sur la transition des adolescents et jeunes adultes atteints de maladie inflammatoire intestinale des soins pédiatriques aux soins adultes a été établi. La présentation de la Dre Jessica Breton, gastro-entérologue pédiatrique au CHU St-Justine, Comment assurer une transition harmonieuse enfant adulte en MII? permet de réfléchir et d’établir des procédures afin de faciliter une transition et un transfert harmonieux des soins médicaux après l’âge de 18 ans. Durée 30 minutes, Section1/Catégorie A.
En terminant, je tiens à remercier sincèrement le Dr Rémy Lamontagne, représentant des résidents au sein du comité de DPC lors de l’exercice 2023-2024, pour son engagement, son travail et sa disponibilité. J’en profite également pour souhaiter la bienvenue à la Dre Anne Dumas qui sera la nouvelle représentante des résidents au sein du comité pour l’exercice 2024-2025.
Nous avons hâte de vous retrouver à l’occasion des JFI en novembre 2024. C’est un rendez-vous!
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La mission du comité de DPC de l’APQ est d’aider le pédiatre du Québec à maintenir et à améliorer sa compétence dans le champ d’expertise qui lui est propre afin d’offrir à la population québécoise les plus hauts standards en matière de qualité en ce qui a trait à la pratique de la pédiatrie.
L’objectif principal du DPC de l’APQ est d’offrir à ses membres les plus hauts standards en matière de développement professionnel continu tout en suscitant au maximum leur intérêt pour le maintien de leur compétence. Retrouvez l’énoncé de mission complet ainsi que tous les objectifs du comité de DPC sur le site Internet de l’APQ au www.pediatres.ca.
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Nous espérons que la période estivale a été douce et reposante pour chacun d’entre vous. Votre comité de DPC s’est, quant à lui, déjà remis au travail afin de vous préparer des activités à la hauteur de vos attentes.
Dans le but de consolider vos connaissances, vous serez invités d’ici quelques jours à reprendre le même exercice effectué lors du mini-symposium de section 3 (évaluation de la pratique) sur la médecine néonatale tenu dans le cadre du congrès 2024. Que vous ayez participé ou non à cet exercice en avril, cette activité vous permettra d’acquérir 1,50 h de formation pour des crédits de section 3 en plus de parfaire vos connaissances. Peut-être serez-vous également incités à relire sur certains sujets que vous avez oubliés. De notre côté, nous pourrons en extraire des statistiques qui nous permettront d’améliorer la qualité des formations scientifiques que nous vous offrons.
Vous recevrez également une étude d’impact en lien avec le congrès 2024 afin d’évaluer si vous avez apporté un ou des changements à votre pratique professionnelle à la suite de la tenue de notre activité. Nous vous invitons donc à participer en grand nombre à ces activités post congrès!
Le prochain congrès de l’APQ se tiendra dans un format hybride soit en présentiel au Château Laurier de Québec et en mode virtuel, les 1er et 2 mai 2025. En raison des frais techniques importants liés à la rediffusion, seulement deux ateliers seront diffusés en ligne. Les participants en mode virtuel ne pourront donc pas choisir les ateliers auxquels ils participeront. Votre comité DPC se réunira sous peu afin d’élaborer le contenu de cette édition 2025. Il est encore temps de nous faire parvenir vos suggestions de sujets et de conférenciers en suivant ce lien : https://www.pediatres.ca/membres/suggestions-en-dpc/.
Nous vous invitons à vous inscrire aux JFI 2024 qui auront lieu au Palais des congrès de Montréal les 15-16 novembre 2024.Deux séances d’intérêt pédiatrique seront présentées : Prendre soin des patients qui ont un trouble du spectre de l’autisme et Pandémie : des médecins préparés. Ce sera une excellente occasion de parfaire vos connaissances sur divers sujets. Réservez vos journées, de plus amples informations suivront lorsqu’elles seront disponibles. Découvrez le programme en cliquant sur le lien suivant et inscrivez-vous dès maintenant : https://dashboard.pairconnex.app/ticketing/order/daa99022-221a-49bc-b81e-724acc48e8ce.
Retrouvez notre nouveau questionnaire thématique ayant pour titre Fièvre chez les nouveau-nés disponible sur la plateforme Méduse. Vous pourrez y accéder en passant par le site Internet de la FMSQ (https://www.fmsq.org/fr/). Connectez-vous à Méduse et tapez le mot clé « fièvre49 » dans la barre de recherche pour le trouver. Une fois l’activité terminée, vous pourrez consigner 30 minutes d’activité d’évaluation de la pratique reconnue (section 3). Ne manquez pas cette chance de réviser la prise en charge des nouveau-nés avec fièvre : cela pourrait changer votre pratique significativement!
En réponse à une forte demande, le 23 septembre à midi, nous vous présenterons un webinaire sur la coqueluche avec le Dr Jesse Papenburg. Si ce n'est déjà fait, inscrivez-vous dès maintenant en cliquant sur le lien suivant : https://us02web.zoom.us/webinar/register/WN_a1uIDXfpTvSj-bMJ7WegYA.
Voici deux recommandations de présentation que vous pouvez retrouver sur Méduse, la plateforme de formation médicale continue de la FMSQ.
Les infections ORL ainsi que leurs complications sont bien présentes chez notre clientèle pédiatrique. Que ce soit l’abcès périamygdalien, la mastoïdite, l’abcès dentaire ou des présentations cliniques plus rares telles que l’angine de Ludwig, la tumeur de Pott (Pott’s puffy tumor), etc., il est important de pouvoir diagnostiquer ces infections et éliminer leurs complications afin d’avoir une prise en charge et un traitement optimal. La présentation Urgences ORL par la Dre Marie-Constance Lacasse, neuroradiologiste au CUSM, consiste en une révision des infections ORL ainsi que de leurs complications. Durée 45 minutes, Section 2/Catégorie C.
La transition et le transfert des soins aux équipes adultes de notre clientèle avec maladie chronique demeurent un défi. Connaissez-vous la différence entre la transition des soins et le transfert des soins ? Un consensus canadien sur la transition des adolescents et jeunes adultes atteints de maladie inflammatoire intestinale des soins pédiatriques aux soins adultes a été établi. La présentation de la Dre Jessica Breton, gastro-entérologue pédiatrique au CHU St-Justine, Comment assurer une transition harmonieuse enfant adulte en MII? permet de réfléchir et d’établir des procédures afin de faciliter une transition et un transfert harmonieux des soins médicaux après l’âge de 18 ans. Durée 30 minutes, Section1/Catégorie A.
En terminant, je tiens à remercier sincèrement le Dr Rémy Lamontagne, représentant des résidents au sein du comité de DPC lors de l’exercice 2023-2024, pour son engagement, son travail et sa disponibilité. J’en profite également pour souhaiter la bienvenue à la Dre Anne Dumas qui sera la nouvelle représentante des résidents au sein du comité pour l’exercice 2024-2025.
Nous avons hâte de vous retrouver à l’occasion des JFI en novembre 2024. C’est un rendez-vous!
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La mission du comité de DPC de l’APQ est d’aider le pédiatre du Québec à maintenir et à améliorer sa compétence dans le champ d’expertise qui lui est propre afin d’offrir à la population québécoise les plus hauts standards en matière de qualité en ce qui a trait à la pratique de la pédiatrie.
L’objectif principal du DPC de l’APQ est d’offrir à ses membres les plus hauts standards en matière de développement professionnel continu tout en suscitant au maximum leur intérêt pour le maintien de leur compétence. Retrouvez l’énoncé de mission complet ainsi que tous les objectifs du comité de DPC sur le site Internet de l’APQ au www.pediatres.ca.
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Nous espérons que la période estivale a été douce et reposante pour chacun d’entre vous. Votre comité de DPC s’est, quant à lui, déjà remis au travail afin de vous préparer des activités à la hauteur de vos attentes.
Dans le but de consolider vos connaissances, vous serez invités d’ici quelques jours à reprendre le même exercice effectué lors du mini-symposium de section 3 (évaluation de la pratique) sur la médecine néonatale tenu dans le cadre du congrès 2024. Que vous ayez participé ou non à cet exercice en avril, cette activité vous permettra d’acquérir 1,50 h de formation pour des crédits de section 3 en plus de parfaire vos connaissances. Peut-être serez-vous également incités à relire sur certains sujets que vous avez oubliés. De notre côté, nous pourrons en extraire des statistiques qui nous permettront d’améliorer la qualité des formations scientifiques que nous vous offrons.
Vous recevrez également une étude d’impact en lien avec le congrès 2024 afin d’évaluer si vous avez apporté un ou des changements à votre pratique professionnelle à la suite de la tenue de notre activité. Nous vous invitons donc à participer en grand nombre à ces activités post congrès!
Le prochain congrès de l’APQ se tiendra dans un format hybride soit en présentiel au Château Laurier de Québec et en mode virtuel, les 1er et 2 mai 2025. En raison des frais techniques importants liés à la rediffusion, seulement deux ateliers seront diffusés en ligne. Les participants en mode virtuel ne pourront donc pas choisir les ateliers auxquels ils participeront. Votre comité DPC se réunira sous peu afin d’élaborer le contenu de cette édition 2025. Il est encore temps de nous faire parvenir vos suggestions de sujets et de conférenciers en suivant ce lien : https://www.pediatres.ca/membres/suggestions-en-dpc/.
Nous vous invitons à vous inscrire aux JFI 2024 qui auront lieu au Palais des congrès de Montréal les 15-16 novembre 2024.Deux séances d’intérêt pédiatrique seront présentées : Prendre soin des patients qui ont un trouble du spectre de l’autisme et Pandémie : des médecins préparés. Ce sera une excellente occasion de parfaire vos connaissances sur divers sujets. Réservez vos journées, de plus amples informations suivront lorsqu’elles seront disponibles. Découvrez le programme en cliquant sur le lien suivant et inscrivez-vous dès maintenant : https://dashboard.pairconnex.app/ticketing/order/daa99022-221a-49bc-b81e-724acc48e8ce.
Retrouvez notre nouveau questionnaire thématique ayant pour titre Fièvre chez les nouveau-nés disponible sur la plateforme Méduse. Vous pourrez y accéder en passant par le site Internet de la FMSQ (https://www.fmsq.org/fr/). Connectez-vous à Méduse et tapez le mot clé « fièvre49 » dans la barre de recherche pour le trouver. Une fois l’activité terminée, vous pourrez consigner 30 minutes d’activité d’évaluation de la pratique reconnue (section 3). Ne manquez pas cette chance de réviser la prise en charge des nouveau-nés avec fièvre : cela pourrait changer votre pratique significativement!
En réponse à une forte demande, le 23 septembre à midi, nous vous présenterons un webinaire sur la coqueluche avec le Dr Jesse Papenburg. Si ce n'est déjà fait, inscrivez-vous dès maintenant en cliquant sur le lien suivant : https://us02web.zoom.us/webinar/register/WN_a1uIDXfpTvSj-bMJ7WegYA.
Voici deux recommandations de présentation que vous pouvez retrouver sur Méduse, la plateforme de formation médicale continue de la FMSQ.
Les infections ORL ainsi que leurs complications sont bien présentes chez notre clientèle pédiatrique. Que ce soit l’abcès périamygdalien, la mastoïdite, l’abcès dentaire ou des présentations cliniques plus rares telles que l’angine de Ludwig, la tumeur de Pott (Pott’s puffy tumor), etc., il est important de pouvoir diagnostiquer ces infections et éliminer leurs complications afin d’avoir une prise en charge et un traitement optimal. La présentation Urgences ORL par la Dre Marie-Constance Lacasse, neuroradiologiste au CUSM, consiste en une révision des infections ORL ainsi que de leurs complications. Durée 45 minutes, Section 2/Catégorie C.
La transition et le transfert des soins aux équipes adultes de notre clientèle avec maladie chronique demeurent un défi. Connaissez-vous la différence entre la transition des soins et le transfert des soins ? Un consensus canadien sur la transition des adolescents et jeunes adultes atteints de maladie inflammatoire intestinale des soins pédiatriques aux soins adultes a été établi. La présentation de la Dre Jessica Breton, gastro-entérologue pédiatrique au CHU St-Justine, Comment assurer une transition harmonieuse enfant adulte en MII? permet de réfléchir et d’établir des procédures afin de faciliter une transition et un transfert harmonieux des soins médicaux après l’âge de 18 ans. Durée 30 minutes, Section1/Catégorie A.
En terminant, je tiens à remercier sincèrement le Dr Rémy Lamontagne, représentant des résidents au sein du comité de DPC lors de l’exercice 2023-2024, pour son engagement, son travail et sa disponibilité. J’en profite également pour souhaiter la bienvenue à la Dre Anne Dumas qui sera la nouvelle représentante des résidents au sein du comité pour l’exercice 2024-2025.
Nous avons hâte de vous retrouver à l’occasion des JFI en novembre 2024. C’est un rendez-vous!
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La mission du comité de DPC de l’APQ est d’aider le pédiatre du Québec à maintenir et à améliorer sa compétence dans le champ d’expertise qui lui est propre afin d’offrir à la population québécoise les plus hauts standards en matière de qualité en ce qui a trait à la pratique de la pédiatrie.
L’objectif principal du DPC de l’APQ est d’offrir à ses membres les plus hauts standards en matière de développement professionnel continu tout en suscitant au maximum leur intérêt pour le maintien de leur compétence. Retrouvez l’énoncé de mission complet ainsi que tous les objectifs du comité de DPC sur le site Internet de l’APQ au www.pediatres.ca.
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Marcher sur les traces du Dr Marc Lebel, qui rédigeait la chronique sur les activités du Comité sur l’immunisation du Québec (CIQ) depuis quinze ans, sera tout un défi!
À titre de rappel, le CIQ relève directement de l’INSPQ et conseille le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) du Québec en ce qui a trait aux objectifs des programmes d’immunisation, aux stratégies à implanter, aux produits immunisants à utiliser et aux normes de pratique à appliquer, incluant le Protocole d’immunisation du Québec (PIQ). Dans cette chronique, je tâcherai de résumer les nouveautés du domaine de la vaccination en ciblant celles qui sont pertinentes à la pratique pédiatrique québécoise. C’est un privilège (et un grand plaisir !) pour moi de participer aux activités du CIQ et j’espère partager avec vous mon enthousiasme pour ces travaux.
Pour ce premier bulletin, faisons une petite mise à jour concernant trois dossiers présentés par le Dr Lebel dans les derniers numéros.
Jusqu’à l’hiver 2023-2024, une immunoprophylaxie mensuelle avec le palivizumab (Synagis®, AstraZeneca) était offerte durant la saison du VRS aux nourrissons et jeunes enfants les plus à risque de développer une infection grave. Rappelons cependant qu’environ 80 % des hospitalisations dues au VRS chez les nourrissons au Canada ne sont pas associées à un facteur de risque connu et qu’aucun agent immunisant n’était jusqu’à présent disponible pour protéger les bébés à terme et en bonne santé au cours de leurs premiers mois de vie.
Ce n’est toutefois plus le cas depuis l’approbation par Santé Canada en avril 2023 du nirsévimab (BeyfortusTM, Sanofi Pasteur – AstraZeneca), un anticorps monoclonal ne nécessitant qu’une seule injection intramusculaire par saison. À la suite d’une évaluation favorable du produit par l’Institut national d’excellence et santé et en services sociaux (INESSS), le MSSS mettra sur pied dès l’automne 2024 un programme d’immunoprophylaxie avec le nirsévimab. Il s’agit d’une excellente nouvelle pour les nourrissons du Québec et leurs familles, puisque l’efficacité du nirsévimab à prévenir les hospitalisations causées par le VRS était d’environ 80 % dans les études cliniques et de 83 % et 90 % dans des études effectuées sur le terrain en 2023-2024 en France et en Espagne, respectivement.
Par ailleurs, un vaccin à administrer durant la grossesse (RSVpreF; Pfizer) pour prévenir les infections graves par le VRS chez les nourrissons a été autorisé au Canada en janvier 2024. Le CIQ a émis en mai 2024 un avis sur son utilisation, incluant une modélisation économique. Dans les études cliniques, le RSVpreF avait une efficacité vaccinale d’environ 50-60 % contre les consultations et les hospitalisations dues au VRS durant les six premiers mois de vie. En ce qui concerne son innocuité, l’avis du CIQ mentionne que “[le] vaccin RSVpreF a été approuvé par Santé Canada pour une administration entre 32 et 36 semaines de gestation, afin de mitiger un signal possible et non confirmé d’augmentation du risque de prématurité identifié dans les études de phase 3. Aucun risque de prématurité associé à l’utilisation de ce vaccin n’a été mis en évidence dans les pays à revenu élevé comme le Canada.”. D’ailleurs, dans une étude de cohorte réalisée durant le programme de vaccination RSVpreF aux États-Unis en 2023-2024 et comportant 2973 accouchements, aucune augmentation du risque de naissance prématurée n’a été notée à la suite de la vaccination en grossesse.
Après l’analyse des données probantes, le CIQ a conclu que le nirsévimab « offre vraisemblablement une protection plus élevée et de plus longue durée que le RSVpreF ». Ainsi, le comité n’aurait recommandé un programme public de vaccination saisonnière des personnes enceintes avec le RSVpreF que si « le nirsévimab [n’était] pas disponible en 2024-2025 ou qu’il [n’était] recommandé qu’aux nourrissons à haut risque d’infection grave au VRS ».
L’approche populationnelle au Québec pour prévenir le VRS chez les nourrissons sera donc la prophylaxie avec le nirsévimab. Le nirsévimab a été intégré au PIQ et sera administré aux nouveau-nés et aux nourrissons qui satisferont aux critères suivants :
Des doses de nirsévimab commenceront à arriver au Québec en septembre/octobre et dès le début novembre les quantités devraient être suffisantes pour l’administrer à tous les bébés éligibles. Le RSVpreF sera disponible pour les personnes enceintes qui le désirent, mais le produit ne sera pas couvert par un programme public.
Depuis 2022, d’importants foyers d’éclosion de rougeole sont survenus dans plusieurs pays européens et aux États-Unis. En 2024, le Canada a lui aussi enregistré une recrudescence de la rougeole avec 81 cas, dont 1 décès pédiatrique. Au Québec, 51 cas ont été déclarés lors de cette éclosion qui s’est terminée le 5 juin 2024. Quelques cas sporadiques ont été rapportés depuis.
Selon le calendrier régulier de vaccination québécois, la première dose de vaccin contre la rougeole est administrée à 12 mois et la deuxième à 18 mois. Dans le contexte de l’éclosion, le CIQ a émis un avis sur la possibilité de devancer la 1re ou la 2e dose de vaccin. Des données du Québec lors de l’éclosion de 2011 ainsi qu’une méta-analyse démontrent que la protection conférée par une ou plusieurs doses de vaccin contre la rougeole dépend de l’âge à la réception de la première dose. En effet, l’efficacité́ à long terme de deux doses de vaccin serait inférieure lorsque la dose initiale est donnée avant l’âge de 12 mois. Ainsi, bien que la couverture vaccinale à deux doses soit essentielle pour interrompre la transmission de la rougeole, le maintien d’un âge plus avancé au moment de l’initiation de la vaccination (i.e. 12 mois ou plus) semble nécessaire pour conserver un niveau élevé d’immunité populationnelle. « Pour ces raisons, le CIQ ne recommande pas le devancement de la première dose de vaccin lors d’une éclosion régionale ou provinciale de rougeole. Il n’existe aucune donnée scientifique permettant d’identifier un seuil épidémiologique au-delà duquel une telle intervention pourrait être recommandée. »
Pour ce qui est de la deuxième dose, il convient de souligner que l’intervalle de temps recommandé entre les deux doses de vaccin varie grandement d’une juridiction à l’autre, mondialement. Le CIQ « ne recommande pas le devancement de la deuxième dose de vaccin dans le calendrier de vaccination du Québec. Il n’existe aucune donnée démontrant l’efficacité́ d’une telle intervention, ni de seuil épidémiologique à partir duquel elle pourrait être recommandée. Le devancement de la deuxième dose devrait se limiter à des cas d’exception, comme la prophylaxie post-exposition à la suite d’un contact direct avec un cas de rougeole. »
Notons aussi que l’INESSS a élaboré des outils sur le repérage et le diagnostic de la rougeole, publiés en juin 2024.
La vaccination, comme les stratégies de surveillance et de dépistage, est une mesure essentielle pour la prévention des cancers associés aux VPH. Jusqu’à récemment, deux doses de vaccin VPH étaient administrées aux préadolescents et adolescents québécois. Toutefois, en 2022, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a émis une recommandation ouvrant la porte à un calendrier de vaccination VPH comportant une seule dose chez les personnes de 9 à 20 ans. Depuis, plusieurs pays ont adopté un tel programme.
Le CIQ a évalué la pertinence et l’efficacité d’un programme à dose unique de vaccin VPH chez les préadolescents et adolescents. Des études observationnelles ainsi qu’un essai clinique randomisé indiquent que l’efficacité vaccinale d’une seule dose de vaccin administrée avant 21 ans est très élevée (>95 %) et comparable à un programme à deux doses. Le comité note que « [même] si les niveaux d’anticorps induits par une dose unique sont significativement inférieurs à ceux observés après l’administration de deux ou de trois doses, l’avidité (qualité) des anticorps ainsi que leur efficacité à prévenir les infections persistantes associées aux types vaccinaux sont comparables, durant 11 ans au moins après la vaccination. » De surcroît, la bonne couverture vaccinale au Québec (~85 %) confère une importante immunité de groupe. La modélisation mathématique démontre également que la vaccination avec une seule dose permettrait de prévenir un nombre similaire de cancers que le programme à deux doses.
Donc, le CIQ recommande:
À la suite de ces recommandations, le calendrier de vaccination contre les VPH a été mis à jour au PIQ.
De plus, « [le] CIQ réitère que pour obtenir les gains maximaux, la vaccination contre les VPH devrait être administrée avant le début de l’activité sexuelle, soit durant la préadolescence ou la jeune adolescence. »
Marcher sur les traces du Dr Marc Lebel, qui rédigeait la chronique sur les activités du Comité sur l’immunisation du Québec (CIQ) depuis quinze ans, sera tout un défi!
À titre de rappel, le CIQ relève directement de l’INSPQ et conseille le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) du Québec en ce qui a trait aux objectifs des programmes d’immunisation, aux stratégies à implanter, aux produits immunisants à utiliser et aux normes de pratique à appliquer, incluant le Protocole d’immunisation du Québec (PIQ). Dans cette chronique, je tâcherai de résumer les nouveautés du domaine de la vaccination en ciblant celles qui sont pertinentes à la pratique pédiatrique québécoise. C’est un privilège (et un grand plaisir !) pour moi de participer aux activités du CIQ et j’espère partager avec vous mon enthousiasme pour ces travaux.
Pour ce premier bulletin, faisons une petite mise à jour concernant trois dossiers présentés par le Dr Lebel dans les derniers numéros.
Jusqu’à l’hiver 2023-2024, une immunoprophylaxie mensuelle avec le palivizumab (Synagis®, AstraZeneca) était offerte durant la saison du VRS aux nourrissons et jeunes enfants les plus à risque de développer une infection grave. Rappelons cependant qu’environ 80 % des hospitalisations dues au VRS chez les nourrissons au Canada ne sont pas associées à un facteur de risque connu et qu’aucun agent immunisant n’était jusqu’à présent disponible pour protéger les bébés à terme et en bonne santé au cours de leurs premiers mois de vie.
Ce n’est toutefois plus le cas depuis l’approbation par Santé Canada en avril 2023 du nirsévimab (BeyfortusTM, Sanofi Pasteur – AstraZeneca), un anticorps monoclonal ne nécessitant qu’une seule injection intramusculaire par saison. À la suite d’une évaluation favorable du produit par l’Institut national d’excellence et santé et en services sociaux (INESSS), le MSSS mettra sur pied dès l’automne 2024 un programme d’immunoprophylaxie avec le nirsévimab. Il s’agit d’une excellente nouvelle pour les nourrissons du Québec et leurs familles, puisque l’efficacité du nirsévimab à prévenir les hospitalisations causées par le VRS était d’environ 80 % dans les études cliniques et de 83 % et 90 % dans des études effectuées sur le terrain en 2023-2024 en France et en Espagne, respectivement.
Par ailleurs, un vaccin à administrer durant la grossesse (RSVpreF; Pfizer) pour prévenir les infections graves par le VRS chez les nourrissons a été autorisé au Canada en janvier 2024. Le CIQ a émis en mai 2024 un avis sur son utilisation, incluant une modélisation économique. Dans les études cliniques, le RSVpreF avait une efficacité vaccinale d’environ 50-60 % contre les consultations et les hospitalisations dues au VRS durant les six premiers mois de vie. En ce qui concerne son innocuité, l’avis du CIQ mentionne que “[le] vaccin RSVpreF a été approuvé par Santé Canada pour une administration entre 32 et 36 semaines de gestation, afin de mitiger un signal possible et non confirmé d’augmentation du risque de prématurité identifié dans les études de phase 3. Aucun risque de prématurité associé à l’utilisation de ce vaccin n’a été mis en évidence dans les pays à revenu élevé comme le Canada.”. D’ailleurs, dans une étude de cohorte réalisée durant le programme de vaccination RSVpreF aux États-Unis en 2023-2024 et comportant 2973 accouchements, aucune augmentation du risque de naissance prématurée n’a été notée à la suite de la vaccination en grossesse.
Après l’analyse des données probantes, le CIQ a conclu que le nirsévimab « offre vraisemblablement une protection plus élevée et de plus longue durée que le RSVpreF ». Ainsi, le comité n’aurait recommandé un programme public de vaccination saisonnière des personnes enceintes avec le RSVpreF que si « le nirsévimab [n’était] pas disponible en 2024-2025 ou qu’il [n’était] recommandé qu’aux nourrissons à haut risque d’infection grave au VRS ».
L’approche populationnelle au Québec pour prévenir le VRS chez les nourrissons sera donc la prophylaxie avec le nirsévimab. Le nirsévimab a été intégré au PIQ et sera administré aux nouveau-nés et aux nourrissons qui satisferont aux critères suivants :
Des doses de nirsévimab commenceront à arriver au Québec en septembre/octobre et dès le début novembre les quantités devraient être suffisantes pour l’administrer à tous les bébés éligibles. Le RSVpreF sera disponible pour les personnes enceintes qui le désirent, mais le produit ne sera pas couvert par un programme public.
Depuis 2022, d’importants foyers d’éclosion de rougeole sont survenus dans plusieurs pays européens et aux États-Unis. En 2024, le Canada a lui aussi enregistré une recrudescence de la rougeole avec 81 cas, dont 1 décès pédiatrique. Au Québec, 51 cas ont été déclarés lors de cette éclosion qui s’est terminée le 5 juin 2024. Quelques cas sporadiques ont été rapportés depuis.
Selon le calendrier régulier de vaccination québécois, la première dose de vaccin contre la rougeole est administrée à 12 mois et la deuxième à 18 mois. Dans le contexte de l’éclosion, le CIQ a émis un avis sur la possibilité de devancer la 1re ou la 2e dose de vaccin. Des données du Québec lors de l’éclosion de 2011 ainsi qu’une méta-analyse démontrent que la protection conférée par une ou plusieurs doses de vaccin contre la rougeole dépend de l’âge à la réception de la première dose. En effet, l’efficacité́ à long terme de deux doses de vaccin serait inférieure lorsque la dose initiale est donnée avant l’âge de 12 mois. Ainsi, bien que la couverture vaccinale à deux doses soit essentielle pour interrompre la transmission de la rougeole, le maintien d’un âge plus avancé au moment de l’initiation de la vaccination (i.e. 12 mois ou plus) semble nécessaire pour conserver un niveau élevé d’immunité populationnelle. « Pour ces raisons, le CIQ ne recommande pas le devancement de la première dose de vaccin lors d’une éclosion régionale ou provinciale de rougeole. Il n’existe aucune donnée scientifique permettant d’identifier un seuil épidémiologique au-delà duquel une telle intervention pourrait être recommandée. »
Pour ce qui est de la deuxième dose, il convient de souligner que l’intervalle de temps recommandé entre les deux doses de vaccin varie grandement d’une juridiction à l’autre, mondialement. Le CIQ « ne recommande pas le devancement de la deuxième dose de vaccin dans le calendrier de vaccination du Québec. Il n’existe aucune donnée démontrant l’efficacité́ d’une telle intervention, ni de seuil épidémiologique à partir duquel elle pourrait être recommandée. Le devancement de la deuxième dose devrait se limiter à des cas d’exception, comme la prophylaxie post-exposition à la suite d’un contact direct avec un cas de rougeole. »
Notons aussi que l’INESSS a élaboré des outils sur le repérage et le diagnostic de la rougeole, publiés en juin 2024.
La vaccination, comme les stratégies de surveillance et de dépistage, est une mesure essentielle pour la prévention des cancers associés aux VPH. Jusqu’à récemment, deux doses de vaccin VPH étaient administrées aux préadolescents et adolescents québécois. Toutefois, en 2022, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a émis une recommandation ouvrant la porte à un calendrier de vaccination VPH comportant une seule dose chez les personnes de 9 à 20 ans. Depuis, plusieurs pays ont adopté un tel programme.
Le CIQ a évalué la pertinence et l’efficacité d’un programme à dose unique de vaccin VPH chez les préadolescents et adolescents. Des études observationnelles ainsi qu’un essai clinique randomisé indiquent que l’efficacité vaccinale d’une seule dose de vaccin administrée avant 21 ans est très élevée (>95 %) et comparable à un programme à deux doses. Le comité note que « [même] si les niveaux d’anticorps induits par une dose unique sont significativement inférieurs à ceux observés après l’administration de deux ou de trois doses, l’avidité (qualité) des anticorps ainsi que leur efficacité à prévenir les infections persistantes associées aux types vaccinaux sont comparables, durant 11 ans au moins après la vaccination. » De surcroît, la bonne couverture vaccinale au Québec (~85 %) confère une importante immunité de groupe. La modélisation mathématique démontre également que la vaccination avec une seule dose permettrait de prévenir un nombre similaire de cancers que le programme à deux doses.
Donc, le CIQ recommande:
À la suite de ces recommandations, le calendrier de vaccination contre les VPH a été mis à jour au PIQ.
De plus, « [le] CIQ réitère que pour obtenir les gains maximaux, la vaccination contre les VPH devrait être administrée avant le début de l’activité sexuelle, soit durant la préadolescence ou la jeune adolescence. »
Marcher sur les traces du Dr Marc Lebel, qui rédigeait la chronique sur les activités du Comité sur l’immunisation du Québec (CIQ) depuis quinze ans, sera tout un défi!
À titre de rappel, le CIQ relève directement de l’INSPQ et conseille le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) du Québec en ce qui a trait aux objectifs des programmes d’immunisation, aux stratégies à implanter, aux produits immunisants à utiliser et aux normes de pratique à appliquer, incluant le Protocole d’immunisation du Québec (PIQ). Dans cette chronique, je tâcherai de résumer les nouveautés du domaine de la vaccination en ciblant celles qui sont pertinentes à la pratique pédiatrique québécoise. C’est un privilège (et un grand plaisir !) pour moi de participer aux activités du CIQ et j’espère partager avec vous mon enthousiasme pour ces travaux.
Pour ce premier bulletin, faisons une petite mise à jour concernant trois dossiers présentés par le Dr Lebel dans les derniers numéros.
Jusqu’à l’hiver 2023-2024, une immunoprophylaxie mensuelle avec le palivizumab (Synagis®, AstraZeneca) était offerte durant la saison du VRS aux nourrissons et jeunes enfants les plus à risque de développer une infection grave. Rappelons cependant qu’environ 80 % des hospitalisations dues au VRS chez les nourrissons au Canada ne sont pas associées à un facteur de risque connu et qu’aucun agent immunisant n’était jusqu’à présent disponible pour protéger les bébés à terme et en bonne santé au cours de leurs premiers mois de vie.
Ce n’est toutefois plus le cas depuis l’approbation par Santé Canada en avril 2023 du nirsévimab (BeyfortusTM, Sanofi Pasteur – AstraZeneca), un anticorps monoclonal ne nécessitant qu’une seule injection intramusculaire par saison. À la suite d’une évaluation favorable du produit par l’Institut national d’excellence et santé et en services sociaux (INESSS), le MSSS mettra sur pied dès l’automne 2024 un programme d’immunoprophylaxie avec le nirsévimab. Il s’agit d’une excellente nouvelle pour les nourrissons du Québec et leurs familles, puisque l’efficacité du nirsévimab à prévenir les hospitalisations causées par le VRS était d’environ 80 % dans les études cliniques et de 83 % et 90 % dans des études effectuées sur le terrain en 2023-2024 en France et en Espagne, respectivement.
Par ailleurs, un vaccin à administrer durant la grossesse (RSVpreF; Pfizer) pour prévenir les infections graves par le VRS chez les nourrissons a été autorisé au Canada en janvier 2024. Le CIQ a émis en mai 2024 un avis sur son utilisation, incluant une modélisation économique. Dans les études cliniques, le RSVpreF avait une efficacité vaccinale d’environ 50-60 % contre les consultations et les hospitalisations dues au VRS durant les six premiers mois de vie. En ce qui concerne son innocuité, l’avis du CIQ mentionne que “[le] vaccin RSVpreF a été approuvé par Santé Canada pour une administration entre 32 et 36 semaines de gestation, afin de mitiger un signal possible et non confirmé d’augmentation du risque de prématurité identifié dans les études de phase 3. Aucun risque de prématurité associé à l’utilisation de ce vaccin n’a été mis en évidence dans les pays à revenu élevé comme le Canada.”. D’ailleurs, dans une étude de cohorte réalisée durant le programme de vaccination RSVpreF aux États-Unis en 2023-2024 et comportant 2973 accouchements, aucune augmentation du risque de naissance prématurée n’a été notée à la suite de la vaccination en grossesse.
Après l’analyse des données probantes, le CIQ a conclu que le nirsévimab « offre vraisemblablement une protection plus élevée et de plus longue durée que le RSVpreF ». Ainsi, le comité n’aurait recommandé un programme public de vaccination saisonnière des personnes enceintes avec le RSVpreF que si « le nirsévimab [n’était] pas disponible en 2024-2025 ou qu’il [n’était] recommandé qu’aux nourrissons à haut risque d’infection grave au VRS ».
L’approche populationnelle au Québec pour prévenir le VRS chez les nourrissons sera donc la prophylaxie avec le nirsévimab. Le nirsévimab a été intégré au PIQ et sera administré aux nouveau-nés et aux nourrissons qui satisferont aux critères suivants :
Des doses de nirsévimab commenceront à arriver au Québec en septembre/octobre et dès le début novembre les quantités devraient être suffisantes pour l’administrer à tous les bébés éligibles. Le RSVpreF sera disponible pour les personnes enceintes qui le désirent, mais le produit ne sera pas couvert par un programme public.
Depuis 2022, d’importants foyers d’éclosion de rougeole sont survenus dans plusieurs pays européens et aux États-Unis. En 2024, le Canada a lui aussi enregistré une recrudescence de la rougeole avec 81 cas, dont 1 décès pédiatrique. Au Québec, 51 cas ont été déclarés lors de cette éclosion qui s’est terminée le 5 juin 2024. Quelques cas sporadiques ont été rapportés depuis.
Selon le calendrier régulier de vaccination québécois, la première dose de vaccin contre la rougeole est administrée à 12 mois et la deuxième à 18 mois. Dans le contexte de l’éclosion, le CIQ a émis un avis sur la possibilité de devancer la 1re ou la 2e dose de vaccin. Des données du Québec lors de l’éclosion de 2011 ainsi qu’une méta-analyse démontrent que la protection conférée par une ou plusieurs doses de vaccin contre la rougeole dépend de l’âge à la réception de la première dose. En effet, l’efficacité́ à long terme de deux doses de vaccin serait inférieure lorsque la dose initiale est donnée avant l’âge de 12 mois. Ainsi, bien que la couverture vaccinale à deux doses soit essentielle pour interrompre la transmission de la rougeole, le maintien d’un âge plus avancé au moment de l’initiation de la vaccination (i.e. 12 mois ou plus) semble nécessaire pour conserver un niveau élevé d’immunité populationnelle. « Pour ces raisons, le CIQ ne recommande pas le devancement de la première dose de vaccin lors d’une éclosion régionale ou provinciale de rougeole. Il n’existe aucune donnée scientifique permettant d’identifier un seuil épidémiologique au-delà duquel une telle intervention pourrait être recommandée. »
Pour ce qui est de la deuxième dose, il convient de souligner que l’intervalle de temps recommandé entre les deux doses de vaccin varie grandement d’une juridiction à l’autre, mondialement. Le CIQ « ne recommande pas le devancement de la deuxième dose de vaccin dans le calendrier de vaccination du Québec. Il n’existe aucune donnée démontrant l’efficacité́ d’une telle intervention, ni de seuil épidémiologique à partir duquel elle pourrait être recommandée. Le devancement de la deuxième dose devrait se limiter à des cas d’exception, comme la prophylaxie post-exposition à la suite d’un contact direct avec un cas de rougeole. »
Notons aussi que l’INESSS a élaboré des outils sur le repérage et le diagnostic de la rougeole, publiés en juin 2024.
La vaccination, comme les stratégies de surveillance et de dépistage, est une mesure essentielle pour la prévention des cancers associés aux VPH. Jusqu’à récemment, deux doses de vaccin VPH étaient administrées aux préadolescents et adolescents québécois. Toutefois, en 2022, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a émis une recommandation ouvrant la porte à un calendrier de vaccination VPH comportant une seule dose chez les personnes de 9 à 20 ans. Depuis, plusieurs pays ont adopté un tel programme.
Le CIQ a évalué la pertinence et l’efficacité d’un programme à dose unique de vaccin VPH chez les préadolescents et adolescents. Des études observationnelles ainsi qu’un essai clinique randomisé indiquent que l’efficacité vaccinale d’une seule dose de vaccin administrée avant 21 ans est très élevée (>95 %) et comparable à un programme à deux doses. Le comité note que « [même] si les niveaux d’anticorps induits par une dose unique sont significativement inférieurs à ceux observés après l’administration de deux ou de trois doses, l’avidité (qualité) des anticorps ainsi que leur efficacité à prévenir les infections persistantes associées aux types vaccinaux sont comparables, durant 11 ans au moins après la vaccination. » De surcroît, la bonne couverture vaccinale au Québec (~85 %) confère une importante immunité de groupe. La modélisation mathématique démontre également que la vaccination avec une seule dose permettrait de prévenir un nombre similaire de cancers que le programme à deux doses.
Donc, le CIQ recommande:
À la suite de ces recommandations, le calendrier de vaccination contre les VPH a été mis à jour au PIQ.
De plus, « [le] CIQ réitère que pour obtenir les gains maximaux, la vaccination contre les VPH devrait être administrée avant le début de l’activité sexuelle, soit durant la préadolescence ou la jeune adolescence. »
Marcher sur les traces du Dr Marc Lebel, qui rédigeait la chronique sur les activités du Comité sur l’immunisation du Québec (CIQ) depuis quinze ans, sera tout un défi!
À titre de rappel, le CIQ relève directement de l’INSPQ et conseille le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) du Québec en ce qui a trait aux objectifs des programmes d’immunisation, aux stratégies à implanter, aux produits immunisants à utiliser et aux normes de pratique à appliquer, incluant le Protocole d’immunisation du Québec (PIQ). Dans cette chronique, je tâcherai de résumer les nouveautés du domaine de la vaccination en ciblant celles qui sont pertinentes à la pratique pédiatrique québécoise. C’est un privilège (et un grand plaisir !) pour moi de participer aux activités du CIQ et j’espère partager avec vous mon enthousiasme pour ces travaux.
Pour ce premier bulletin, faisons une petite mise à jour concernant trois dossiers présentés par le Dr Lebel dans les derniers numéros.
Jusqu’à l’hiver 2023-2024, une immunoprophylaxie mensuelle avec le palivizumab (Synagis®, AstraZeneca) était offerte durant la saison du VRS aux nourrissons et jeunes enfants les plus à risque de développer une infection grave. Rappelons cependant qu’environ 80 % des hospitalisations dues au VRS chez les nourrissons au Canada ne sont pas associées à un facteur de risque connu et qu’aucun agent immunisant n’était jusqu’à présent disponible pour protéger les bébés à terme et en bonne santé au cours de leurs premiers mois de vie.
Ce n’est toutefois plus le cas depuis l’approbation par Santé Canada en avril 2023 du nirsévimab (BeyfortusTM, Sanofi Pasteur – AstraZeneca), un anticorps monoclonal ne nécessitant qu’une seule injection intramusculaire par saison. À la suite d’une évaluation favorable du produit par l’Institut national d’excellence et santé et en services sociaux (INESSS), le MSSS mettra sur pied dès l’automne 2024 un programme d’immunoprophylaxie avec le nirsévimab. Il s’agit d’une excellente nouvelle pour les nourrissons du Québec et leurs familles, puisque l’efficacité du nirsévimab à prévenir les hospitalisations causées par le VRS était d’environ 80 % dans les études cliniques et de 83 % et 90 % dans des études effectuées sur le terrain en 2023-2024 en France et en Espagne, respectivement.
Par ailleurs, un vaccin à administrer durant la grossesse (RSVpreF; Pfizer) pour prévenir les infections graves par le VRS chez les nourrissons a été autorisé au Canada en janvier 2024. Le CIQ a émis en mai 2024 un avis sur son utilisation, incluant une modélisation économique. Dans les études cliniques, le RSVpreF avait une efficacité vaccinale d’environ 50-60 % contre les consultations et les hospitalisations dues au VRS durant les six premiers mois de vie. En ce qui concerne son innocuité, l’avis du CIQ mentionne que “[le] vaccin RSVpreF a été approuvé par Santé Canada pour une administration entre 32 et 36 semaines de gestation, afin de mitiger un signal possible et non confirmé d’augmentation du risque de prématurité identifié dans les études de phase 3. Aucun risque de prématurité associé à l’utilisation de ce vaccin n’a été mis en évidence dans les pays à revenu élevé comme le Canada.”. D’ailleurs, dans une étude de cohorte réalisée durant le programme de vaccination RSVpreF aux États-Unis en 2023-2024 et comportant 2973 accouchements, aucune augmentation du risque de naissance prématurée n’a été notée à la suite de la vaccination en grossesse.
Après l’analyse des données probantes, le CIQ a conclu que le nirsévimab « offre vraisemblablement une protection plus élevée et de plus longue durée que le RSVpreF ». Ainsi, le comité n’aurait recommandé un programme public de vaccination saisonnière des personnes enceintes avec le RSVpreF que si « le nirsévimab [n’était] pas disponible en 2024-2025 ou qu’il [n’était] recommandé qu’aux nourrissons à haut risque d’infection grave au VRS ».
L’approche populationnelle au Québec pour prévenir le VRS chez les nourrissons sera donc la prophylaxie avec le nirsévimab. Le nirsévimab a été intégré au PIQ et sera administré aux nouveau-nés et aux nourrissons qui satisferont aux critères suivants :
Des doses de nirsévimab commenceront à arriver au Québec en septembre/octobre et dès le début novembre les quantités devraient être suffisantes pour l’administrer à tous les bébés éligibles. Le RSVpreF sera disponible pour les personnes enceintes qui le désirent, mais le produit ne sera pas couvert par un programme public.
Depuis 2022, d’importants foyers d’éclosion de rougeole sont survenus dans plusieurs pays européens et aux États-Unis. En 2024, le Canada a lui aussi enregistré une recrudescence de la rougeole avec 81 cas, dont 1 décès pédiatrique. Au Québec, 51 cas ont été déclarés lors de cette éclosion qui s’est terminée le 5 juin 2024. Quelques cas sporadiques ont été rapportés depuis.
Selon le calendrier régulier de vaccination québécois, la première dose de vaccin contre la rougeole est administrée à 12 mois et la deuxième à 18 mois. Dans le contexte de l’éclosion, le CIQ a émis un avis sur la possibilité de devancer la 1re ou la 2e dose de vaccin. Des données du Québec lors de l’éclosion de 2011 ainsi qu’une méta-analyse démontrent que la protection conférée par une ou plusieurs doses de vaccin contre la rougeole dépend de l’âge à la réception de la première dose. En effet, l’efficacité́ à long terme de deux doses de vaccin serait inférieure lorsque la dose initiale est donnée avant l’âge de 12 mois. Ainsi, bien que la couverture vaccinale à deux doses soit essentielle pour interrompre la transmission de la rougeole, le maintien d’un âge plus avancé au moment de l’initiation de la vaccination (i.e. 12 mois ou plus) semble nécessaire pour conserver un niveau élevé d’immunité populationnelle. « Pour ces raisons, le CIQ ne recommande pas le devancement de la première dose de vaccin lors d’une éclosion régionale ou provinciale de rougeole. Il n’existe aucune donnée scientifique permettant d’identifier un seuil épidémiologique au-delà duquel une telle intervention pourrait être recommandée. »
Pour ce qui est de la deuxième dose, il convient de souligner que l’intervalle de temps recommandé entre les deux doses de vaccin varie grandement d’une juridiction à l’autre, mondialement. Le CIQ « ne recommande pas le devancement de la deuxième dose de vaccin dans le calendrier de vaccination du Québec. Il n’existe aucune donnée démontrant l’efficacité́ d’une telle intervention, ni de seuil épidémiologique à partir duquel elle pourrait être recommandée. Le devancement de la deuxième dose devrait se limiter à des cas d’exception, comme la prophylaxie post-exposition à la suite d’un contact direct avec un cas de rougeole. »
Notons aussi que l’INESSS a élaboré des outils sur le repérage et le diagnostic de la rougeole, publiés en juin 2024.
La vaccination, comme les stratégies de surveillance et de dépistage, est une mesure essentielle pour la prévention des cancers associés aux VPH. Jusqu’à récemment, deux doses de vaccin VPH étaient administrées aux préadolescents et adolescents québécois. Toutefois, en 2022, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a émis une recommandation ouvrant la porte à un calendrier de vaccination VPH comportant une seule dose chez les personnes de 9 à 20 ans. Depuis, plusieurs pays ont adopté un tel programme.
Le CIQ a évalué la pertinence et l’efficacité d’un programme à dose unique de vaccin VPH chez les préadolescents et adolescents. Des études observationnelles ainsi qu’un essai clinique randomisé indiquent que l’efficacité vaccinale d’une seule dose de vaccin administrée avant 21 ans est très élevée (>95 %) et comparable à un programme à deux doses. Le comité note que « [même] si les niveaux d’anticorps induits par une dose unique sont significativement inférieurs à ceux observés après l’administration de deux ou de trois doses, l’avidité (qualité) des anticorps ainsi que leur efficacité à prévenir les infections persistantes associées aux types vaccinaux sont comparables, durant 11 ans au moins après la vaccination. » De surcroît, la bonne couverture vaccinale au Québec (~85 %) confère une importante immunité de groupe. La modélisation mathématique démontre également que la vaccination avec une seule dose permettrait de prévenir un nombre similaire de cancers que le programme à deux doses.
Donc, le CIQ recommande:
À la suite de ces recommandations, le calendrier de vaccination contre les VPH a été mis à jour au PIQ.
De plus, « [le] CIQ réitère que pour obtenir les gains maximaux, la vaccination contre les VPH devrait être administrée avant le début de l’activité sexuelle, soit durant la préadolescence ou la jeune adolescence. »
Bonjour à tous!
Espérant que vous ayez tous su profiter quelque peu de l’été, voici le moment de la rentrée à la Société canadienne de pédiatrie!
Voici une sélection de documents de principes et de points de pratique publiés récemment et fortement susceptibles de vous intéresser et influencer votre pratique:
LIGNES DIRECTRICES : DOCUMENT DE PRINCIPES ET POINTS DE PRATIQUE
L’évaluation médicale en cas de soupçons de trauma crânien causé par la maltraitance des enfants
Affichage : le 18 juillet 2024
L’allergie aux protéines du lait de vache chez les nourrissons et les enfants
Affichage : le 25 juin 2024
Un guide pour la prise en charge communautaire des troubles des conduites alimentaires en pédiatrie
Affichage : le 6 juin 2024
À vos calendriers! Planifiez dès maintenant de rejoindre vos collègues au congrès annuel qui se tiendra du 29 au 31 mai 2025 à Québec!
Centre des congrès de Québec
Hôtel Hilton Québec
Ville de Québec, Québec
Soumettez vos propositions de séminaires et d’ateliers avant le 15 septembre. L'appel à propositions(séminaires et ateliers) est maintenant ouvert!
L'appel à communications (affiches) sera lancé quant à lui en septembre 2024.
Entre-temps, la SCP vous propose plusieurs activités de formation fort intéressantes et pertinentes cet automne, dont:
Congrès canadien sur la santé mentale des enfants et des adolescents
Du 1er au 3 novembre 2024
Marriott Downtown CF Toronto
Toronto, ON
Sans oublier les séances scientifiques nationales.
La SCP, comme chef de file en matière d’information fondée sur les données probantes, prend régulièrement position sur divers enjeux en lien avec la santé et le bien-être de nos enfants. Vous retrouverez ici les plus récentes prises de position, dont « Le programme de régularisation et la santé des enfants et des jeunes (en anglais)».
Devenez membre, rejoignez plus de 4000 professionnels de la santé pédiatrique, et participez à la défense des intérêts des enfants, aux programmes de formation et réseautez avec vos collègues et experts de vos domaines d’activité!
Bonjour à tous!
Espérant que vous ayez tous su profiter quelque peu de l’été, voici le moment de la rentrée à la Société canadienne de pédiatrie!
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LIGNES DIRECTRICES : DOCUMENT DE PRINCIPES ET POINTS DE PRATIQUE
L’évaluation médicale en cas de soupçons de trauma crânien causé par la maltraitance des enfants
Affichage : le 18 juillet 2024
L’allergie aux protéines du lait de vache chez les nourrissons et les enfants
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Congrès canadien sur la santé mentale des enfants et des adolescents
Du 1er au 3 novembre 2024
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Toronto, ON
Sans oublier les séances scientifiques nationales.
La SCP, comme chef de file en matière d’information fondée sur les données probantes, prend régulièrement position sur divers enjeux en lien avec la santé et le bien-être de nos enfants. Vous retrouverez ici les plus récentes prises de position, dont « Le programme de régularisation et la santé des enfants et des jeunes (en anglais)».
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Bonjour à tous!
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Voici une sélection de documents de principes et de points de pratique publiés récemment et fortement susceptibles de vous intéresser et influencer votre pratique:
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L’évaluation médicale en cas de soupçons de trauma crânien causé par la maltraitance des enfants
Affichage : le 18 juillet 2024
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Congrès canadien sur la santé mentale des enfants et des adolescents
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L’évaluation médicale en cas de soupçons de trauma crânien causé par la maltraitance des enfants
Affichage : le 18 juillet 2024
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Affichage : le 25 juin 2024
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À vos calendriers! Planifiez dès maintenant de rejoindre vos collègues au congrès annuel qui se tiendra du 29 au 31 mai 2025 à Québec!
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Entre-temps, la SCP vous propose plusieurs activités de formation fort intéressantes et pertinentes cet automne, dont:
Congrès canadien sur la santé mentale des enfants et des adolescents
Du 1er au 3 novembre 2024
Marriott Downtown CF Toronto
Toronto, ON
Sans oublier les séances scientifiques nationales.
La SCP, comme chef de file en matière d’information fondée sur les données probantes, prend régulièrement position sur divers enjeux en lien avec la santé et le bien-être de nos enfants. Vous retrouverez ici les plus récentes prises de position, dont « Le programme de régularisation et la santé des enfants et des jeunes (en anglais)».
Devenez membre, rejoignez plus de 4000 professionnels de la santé pédiatrique, et participez à la défense des intérêts des enfants, aux programmes de formation et réseautez avec vos collègues et experts de vos domaines d’activité!
Dans les dernières années, un nombre croissant de réanimations néonatales liées à la prise d’ISRS par la mère durant la grossesse a été observé. Dans ce contexte, l’APQ a déposé en 2021 une demande de projet à l’INESSS. La demande a été retenue et l’INESSS a publié cet été un rapport en soutien à son outil d’aide à la décision adressé principalement aux professionnels de la santé de première ligne. Nous vous invitons à partager dans votre réseau l’information que vous trouverez en suivant ce lien :
Environ 10 à 15% des femmes vivent un épisode de trouble dépressif caractérisé durant leur grossesse qui, s’il n’est pas traité adéquatement, peut entrainer des conséquences importantes pour la mère et l’enfant. Plusieurs options de traitements efficaces sont disponibles, dont les antidépresseurs. Or, les données scientifiques disponibles sur les risques associés à l’usage d’un antidépresseur pendant la grossesse demeurent limitées ou imprécises et une clarification à cet égard s’avère donc nécessaire, d’autant plus que la crainte de causer du tort au fœtus pourrait mener certaines personnes à vouloir cesser leur antidépresseur lorsqu’elles deviennent enceintes ou qu’elles envisagent une grossesse, et ce, même si leur état nécessite ce traitement.
Les travaux de l’INESSS ont mené à la production de deux outils cliniques d’aide à la décision. Soit, un premier destiné aux cliniciens et un second destiné aux femmes. En plus de présenter l’ensemble des données disponibles sur l’innocuité des antidépresseurs pendant la grossesse pour guider les cliniciens dans leur pratique, ces travaux ont permis de dégager trois constats principaux. Tout d’abord, les interventions non pharmacologiques, qu’elles soient d’ordre psychothérapeutique ou psychosocial, sont au cœur du traitement du trouble dépressif caractérisé pendant la grossesse et devraient être offertes d’emblée à toutes les femmes enceintes aux prises avec cette condition. Ensuite, bien que leur usage comporte certains risques, l’usage des antidépresseurs est possible pendant la grossesse et demeure une option valable, surtout pour les cas plus sévères. Enfin, la discussion avec la femme ressort comme un des éléments les plus importants dans la prise en charge de cette condition, que ce soit pour en faciliter le repérage ou pour choisir un traitement qui respectera ses valeurs et préférences. La publication de ces documents devrait donc permettre de soutenir les professionnels de la santé afin de favoriser un usage optimal des interventions pharmacologiques et non pharmacologiques pour le traitement d’un trouble dépressif caractérisé pendant la grossesse et ultimement, améliorer l’expérience de soins de la mère et l’enfant.
Dans les dernières années, un nombre croissant de réanimations néonatales liées à la prise d’ISRS par la mère durant la grossesse a été observé. Dans ce contexte, l’APQ a déposé en 2021 une demande de projet à l’INESSS. La demande a été retenue et l’INESSS a publié cet été un rapport en soutien à son outil d’aide à la décision adressé principalement aux professionnels de la santé de première ligne. Nous vous invitons à partager dans votre réseau l’information que vous trouverez en suivant ce lien :
Environ 10 à 15% des femmes vivent un épisode de trouble dépressif caractérisé durant leur grossesse qui, s’il n’est pas traité adéquatement, peut entrainer des conséquences importantes pour la mère et l’enfant. Plusieurs options de traitements efficaces sont disponibles, dont les antidépresseurs. Or, les données scientifiques disponibles sur les risques associés à l’usage d’un antidépresseur pendant la grossesse demeurent limitées ou imprécises et une clarification à cet égard s’avère donc nécessaire, d’autant plus que la crainte de causer du tort au fœtus pourrait mener certaines personnes à vouloir cesser leur antidépresseur lorsqu’elles deviennent enceintes ou qu’elles envisagent une grossesse, et ce, même si leur état nécessite ce traitement.
Les travaux de l’INESSS ont mené à la production de deux outils cliniques d’aide à la décision. Soit, un premier destiné aux cliniciens et un second destiné aux femmes. En plus de présenter l’ensemble des données disponibles sur l’innocuité des antidépresseurs pendant la grossesse pour guider les cliniciens dans leur pratique, ces travaux ont permis de dégager trois constats principaux. Tout d’abord, les interventions non pharmacologiques, qu’elles soient d’ordre psychothérapeutique ou psychosocial, sont au cœur du traitement du trouble dépressif caractérisé pendant la grossesse et devraient être offertes d’emblée à toutes les femmes enceintes aux prises avec cette condition. Ensuite, bien que leur usage comporte certains risques, l’usage des antidépresseurs est possible pendant la grossesse et demeure une option valable, surtout pour les cas plus sévères. Enfin, la discussion avec la femme ressort comme un des éléments les plus importants dans la prise en charge de cette condition, que ce soit pour en faciliter le repérage ou pour choisir un traitement qui respectera ses valeurs et préférences. La publication de ces documents devrait donc permettre de soutenir les professionnels de la santé afin de favoriser un usage optimal des interventions pharmacologiques et non pharmacologiques pour le traitement d’un trouble dépressif caractérisé pendant la grossesse et ultimement, améliorer l’expérience de soins de la mère et l’enfant.
Dans les dernières années, un nombre croissant de réanimations néonatales liées à la prise d’ISRS par la mère durant la grossesse a été observé. Dans ce contexte, l’APQ a déposé en 2021 une demande de projet à l’INESSS. La demande a été retenue et l’INESSS a publié cet été un rapport en soutien à son outil d’aide à la décision adressé principalement aux professionnels de la santé de première ligne. Nous vous invitons à partager dans votre réseau l’information que vous trouverez en suivant ce lien :
Environ 10 à 15% des femmes vivent un épisode de trouble dépressif caractérisé durant leur grossesse qui, s’il n’est pas traité adéquatement, peut entrainer des conséquences importantes pour la mère et l’enfant. Plusieurs options de traitements efficaces sont disponibles, dont les antidépresseurs. Or, les données scientifiques disponibles sur les risques associés à l’usage d’un antidépresseur pendant la grossesse demeurent limitées ou imprécises et une clarification à cet égard s’avère donc nécessaire, d’autant plus que la crainte de causer du tort au fœtus pourrait mener certaines personnes à vouloir cesser leur antidépresseur lorsqu’elles deviennent enceintes ou qu’elles envisagent une grossesse, et ce, même si leur état nécessite ce traitement.
Les travaux de l’INESSS ont mené à la production de deux outils cliniques d’aide à la décision. Soit, un premier destiné aux cliniciens et un second destiné aux femmes. En plus de présenter l’ensemble des données disponibles sur l’innocuité des antidépresseurs pendant la grossesse pour guider les cliniciens dans leur pratique, ces travaux ont permis de dégager trois constats principaux. Tout d’abord, les interventions non pharmacologiques, qu’elles soient d’ordre psychothérapeutique ou psychosocial, sont au cœur du traitement du trouble dépressif caractérisé pendant la grossesse et devraient être offertes d’emblée à toutes les femmes enceintes aux prises avec cette condition. Ensuite, bien que leur usage comporte certains risques, l’usage des antidépresseurs est possible pendant la grossesse et demeure une option valable, surtout pour les cas plus sévères. Enfin, la discussion avec la femme ressort comme un des éléments les plus importants dans la prise en charge de cette condition, que ce soit pour en faciliter le repérage ou pour choisir un traitement qui respectera ses valeurs et préférences. La publication de ces documents devrait donc permettre de soutenir les professionnels de la santé afin de favoriser un usage optimal des interventions pharmacologiques et non pharmacologiques pour le traitement d’un trouble dépressif caractérisé pendant la grossesse et ultimement, améliorer l’expérience de soins de la mère et l’enfant.
Dans les dernières années, un nombre croissant de réanimations néonatales liées à la prise d’ISRS par la mère durant la grossesse a été observé. Dans ce contexte, l’APQ a déposé en 2021 une demande de projet à l’INESSS. La demande a été retenue et l’INESSS a publié cet été un rapport en soutien à son outil d’aide à la décision adressé principalement aux professionnels de la santé de première ligne. Nous vous invitons à partager dans votre réseau l’information que vous trouverez en suivant ce lien :
Environ 10 à 15% des femmes vivent un épisode de trouble dépressif caractérisé durant leur grossesse qui, s’il n’est pas traité adéquatement, peut entrainer des conséquences importantes pour la mère et l’enfant. Plusieurs options de traitements efficaces sont disponibles, dont les antidépresseurs. Or, les données scientifiques disponibles sur les risques associés à l’usage d’un antidépresseur pendant la grossesse demeurent limitées ou imprécises et une clarification à cet égard s’avère donc nécessaire, d’autant plus que la crainte de causer du tort au fœtus pourrait mener certaines personnes à vouloir cesser leur antidépresseur lorsqu’elles deviennent enceintes ou qu’elles envisagent une grossesse, et ce, même si leur état nécessite ce traitement.
Les travaux de l’INESSS ont mené à la production de deux outils cliniques d’aide à la décision. Soit, un premier destiné aux cliniciens et un second destiné aux femmes. En plus de présenter l’ensemble des données disponibles sur l’innocuité des antidépresseurs pendant la grossesse pour guider les cliniciens dans leur pratique, ces travaux ont permis de dégager trois constats principaux. Tout d’abord, les interventions non pharmacologiques, qu’elles soient d’ordre psychothérapeutique ou psychosocial, sont au cœur du traitement du trouble dépressif caractérisé pendant la grossesse et devraient être offertes d’emblée à toutes les femmes enceintes aux prises avec cette condition. Ensuite, bien que leur usage comporte certains risques, l’usage des antidépresseurs est possible pendant la grossesse et demeure une option valable, surtout pour les cas plus sévères. Enfin, la discussion avec la femme ressort comme un des éléments les plus importants dans la prise en charge de cette condition, que ce soit pour en faciliter le repérage ou pour choisir un traitement qui respectera ses valeurs et préférences. La publication de ces documents devrait donc permettre de soutenir les professionnels de la santé afin de favoriser un usage optimal des interventions pharmacologiques et non pharmacologiques pour le traitement d’un trouble dépressif caractérisé pendant la grossesse et ultimement, améliorer l’expérience de soins de la mère et l’enfant.
Nous devrons bientôt choisir un nouveau lauréat pour le Prix Letondal 2025.
Nous sollicitons votre collaboration en vous demandant de nous soumettre la candidature d’un membre qui, selon vous, s’est illustré selon un ou plusieurs des critères suivants : son travail, son implication sociale, ses découvertes et accomplissements, sa visibilité et sa crédibilité auprès du public, pour l’approche pédagogique de sa carrière, etc.
Faites-nous parvenir votre lettre de présentation au sujet de votre candidat, accompagnée de la signature de deux membres en règle de l’Association, qui résume les raisons motivant votre choix. Également, la candidature doit être accompagnée du CV récent du pédiatre candidat. Le tout peut être transmis à pediatrie@fmsq.org.
Les candidatures seront acceptées jusqu’au 15 novembre 2024.
Nous devrons bientôt choisir un nouveau lauréat pour le Prix Letondal 2025.
Nous sollicitons votre collaboration en vous demandant de nous soumettre la candidature d’un membre qui, selon vous, s’est illustré selon un ou plusieurs des critères suivants : son travail, son implication sociale, ses découvertes et accomplissements, sa visibilité et sa crédibilité auprès du public, pour l’approche pédagogique de sa carrière, etc.
Faites-nous parvenir votre lettre de présentation au sujet de votre candidat, accompagnée de la signature de deux membres en règle de l’Association, qui résume les raisons motivant votre choix. Également, la candidature doit être accompagnée du CV récent du pédiatre candidat. Le tout peut être transmis à pediatrie@fmsq.org.
Les candidatures seront acceptées jusqu’au 15 novembre 2024.
Nous devrons bientôt choisir un nouveau lauréat pour le Prix Letondal 2025.
Nous sollicitons votre collaboration en vous demandant de nous soumettre la candidature d’un membre qui, selon vous, s’est illustré selon un ou plusieurs des critères suivants : son travail, son implication sociale, ses découvertes et accomplissements, sa visibilité et sa crédibilité auprès du public, pour l’approche pédagogique de sa carrière, etc.
Faites-nous parvenir votre lettre de présentation au sujet de votre candidat, accompagnée de la signature de deux membres en règle de l’Association, qui résume les raisons motivant votre choix. Également, la candidature doit être accompagnée du CV récent du pédiatre candidat. Le tout peut être transmis à pediatrie@fmsq.org.
Les candidatures seront acceptées jusqu’au 15 novembre 2024.
Nous devrons bientôt choisir un nouveau lauréat pour le Prix Letondal 2025.
Nous sollicitons votre collaboration en vous demandant de nous soumettre la candidature d’un membre qui, selon vous, s’est illustré selon un ou plusieurs des critères suivants : son travail, son implication sociale, ses découvertes et accomplissements, sa visibilité et sa crédibilité auprès du public, pour l’approche pédagogique de sa carrière, etc.
Faites-nous parvenir votre lettre de présentation au sujet de votre candidat, accompagnée de la signature de deux membres en règle de l’Association, qui résume les raisons motivant votre choix. Également, la candidature doit être accompagnée du CV récent du pédiatre candidat. Le tout peut être transmis à pediatrie@fmsq.org.
Les candidatures seront acceptées jusqu’au 15 novembre 2024.
L’équipe de pédiatrie générale d’Alma est à la recherche de nouveaux collègues. Nous avons 1 PREM disponible dès maintenant et en aurons un second qui sera disponible en 2025. Un bureau personnel sera mis à la disposition du pédiatre. Il est situé en clinique externe, jumelé à un service de pédiatrie de jour. Cliniques spécialisées en diabète, asthme et trajectoire facilitée en TDAH. Hospitalisation en pédiatrie avec 7 lits, néonatalogie de niveau 2 A. Nous prenons en charge les nouveau-nés à partir de 34 semaines. 600-700 accouchements par année. Équipe régionale dynamique permettant une amélioration régulière des pratiques. Excellentes collaborations avec les équipes de médecins de famille en bureau et à l’urgence. Possibilité d’un bel équilibre travail-famille-vie personnelle. À seulement 2h 30 minutes de Québec.
Plongez dans la nouvelle ère de la pédiatrie et faites partie d’une équipe multidisciplinaire.
Dans le cadre du lancement d’un nouveau site sur la Rive-Nord, Centre UP continue de redéfinir sa mission afin de mieux répondre aux besoins du réseau et de la population. Comme il est implicite par l’évolution de notre nouveau nom à « UP Centre d’urgences pédiatriques et soins spécialisés », nous cherchons à offrir des soins et services pédiatriques urgents et non urgents/ambulatoires auxquels seront intégrés différents programmes spécialisés selon les besoins régionaux.
Situé au cœur de Brossard dans le Quartier Dix30 et maintenant à Saint-Eustache, Centre UP est équipé d’un plateau technique avancé permettant de fournir la plupart des soins que les enfants recevraient dans un cadre hospitalier.
Qui recherchons-nous ?
Des pédiatres et des sous-spécialistes pédiatriques qui ont envie d’innover et d’établir une nouvelle voie de services pédiatriques au Québec. Des pédiatres à la recherche d’un cadre de travail qui valorise le mentorat et l’amélioration continue. Des médecins aspirant à fournir des soins de qualité sans précédent aux enfants à proximité.
Nos enfants méritent les meilleurs soins de proximité possibles.
L’hôpital Anna Laberge à Châteauguay, faisant partie du CISSS Montérégie-Ouest, est à la recherche de pédiatres pour se joindre à notre équipe dynamique et très impliquée dans la communauté. Nous sommes actuellement 5 pédiatres et nous avons encore 3 PREM à combler. Nous avons un pavillon de naissances avec des chambres TARP et nous sommes accrédité “Amis des bébés”. Nous avons près de 2000 accouchements par année et sommes un niveau 1B avec 4 lits de néonatalogie. Nous avons la possibilité d’hospitaliser les enfants en notre nom. Nous avons aussi une clinique externe à l’hôpital. Il y a beaucoup de possibilités à faire partie des équipes des cliniques d’évaluation des troubles dans le spectre de l’autisme (CÉTSA) ainsi que les équipes de santé mentale première ligne. Nous sommes affiliés avec le CIUS McGill et avons des résidents en médecine familiale qui font des stages en périnatalité. Nous participons aussi à l’enseignement des résidents lors des cliniques spécialisées en pédiatrie.
Le nouvel hôpital à Vaudreuil-Soulange fera aussi partie de notre CISSS et pourra accueillir 12 pédiatres avec une unité de néonatalogie 2B et une unité d’hospitalisation de pédiatrie de 12 lits. Il s’agira d’un hôpital très moderne à la fine pointe de la technologie, offrant une possibilité de pratique très intéressante et diversifiée. La construction a débuté et l’ouverture est prévue pour 2027-2028.
Il y a aussi 3 postes disponibles à l’hôpital du Suroit à Valleyfield, faisant partie de notre CISSS. Nous couvrons un large territoire avec une grande clientèle pédiatrique.
Notre département de pédiatrie de l’Hôpital Charles-Le Moyne du CISSS Montérégie Centre cherche activement un pédiatre pour combler un poste vacant au sein de notre équipe de 8 pédiatres. Un vent de renouveau souffle sur notre équipe et nous sommes à la recherche d’un pédiatre motivé qui souhaite s’impliquer au sein du département pour participer aux différentes tâches cliniques telles que l’enseignement aux externes et résidents, la médecine ambulatoire pédiatrique, l’étage de pédiatrie (24 lits), la pouponnière de niveau 1B (bientôt 2A), les cliniques spécialisées et la clinique externe au sein de l’hôpital. Nous sommes en train de créer une unité d’enseignement clinique qui offrira un plateau idéal pour enseigner aux apprenants. À noter, notre hôpital est à moins de 15 minutes du centre-ville de Montréal, offrant ainsi une localisation idéale.
Notre hôpital est par ailleurs devenu un centre clé d’apprentissage puisque l’Université de Sherbrooke a ouvert en septembre 2022 un troisième site délocalisé au pavillon Jean-Marc Lepage en face de l’hôpital. Une centaine d’étudiants en médecine effectuent donc leurs 4 années de médecine chez nous et les opportunités d’enseignement et de participation pédagogique sont nombreuses!
Le Centre Médical Pour Enfants LaSalle, situé à LaSalle, est à la recherche de pédiatres intéressés à travailler en milieu communautaire. La clientèle est diversifiée et multiethnique. Nous recevons plusieurs références de la pouponnière de l’Hôpital de LaSalle ainsi que des suivis en communauté pour des patients plus complexes venant de l’Hôpital de Montréal pour enfants et de Sainte-Justine. Nous offrons la possibilité de faire de la prise en charge/rendez-vous régulier ainsi que des soins d’urgence “walk-in” par le biais de la plateforme Bonjour Santé. L’an dernier notre clinique était une clinique désignée pédiatrique. Nous utilisons les dossiers électroniques. L’horaire est individualisé et flexible. Présentement, notre équipe dynamique inclut 3 pédiatres et 3 médecins de famille. Nous avons déménagé dans des locaux neufs à LaSalle en février 2021.
Le Centre de pédiatrie sociale en communauté de Verdun Les Petits Renards, est à la recherche d’un pédiatre ou d’un médecin de famille afin de se joindre à l’équipe dans le but de soutenir les enfants en situation de vulnérabilité ainsi que leur famille.
Vous souhaitez œuvrer au sein d’une équipe multidisciplinaire et offrir la possibilité à chaque enfant de développer son plein potentiel ?
Spécifications :
Horaire flexible, 1 journée par semaine
Entrée en poste, dès que possible
Un pédiatre qui prend sa retraite souhaite se faire remplacer.
Sa clientèle pédiatrique est disponible pour tout pédiatre intéressé. Bureau situé dans un centre commercial de l’Ouest de l’île de Montréal, à quelques minutes de l’hôpital Lakeshore.
Pediatric practice available from retiring pediatrician. West Island Montreal commercial centre location, minutes from Lakeshore Hospital.
Cellulaire: 514 516-3539
Bureau: 514 634-1253
Télécopieur: 514 509-8936
Le Centre de pédiatrie sociale en communauté de Rosemont – La Petite-Patrie est présentement à la recherche d’un pédiatre ou d’un médecin de famille pour se joindre à nous dans le cadre d’un beau projet de création d’un centre de pédiatrie sociale au sein du quartier Saint-Michel et Rosemont.
Spécifications :
1 à 2 journées de travail par semaine en temps et lieu
Implication ponctuelle dans l’élaboration du projet
La Serre du quartier Saint-Michel – Rosemont est présentement à la recherche d’un pédiatre ou d’un médecin de famille pour se joindre à nous dans le cadre d’un beau projet de création d’un centre de pédiatrie sociale au sein du quartier Saint-Michel et Rosemont.
Spécifications :
1 à 2 journées de travail par semaine en temps et lieu
Implication ponctuelle dans l’élaboration du projet
Le Département de pédiatrie de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l'Université McGill et de la Division de néonatologie de l’Hôpital général juif (HGJ) invite les candidats à poser leur candidature pour un poste à temps plein en tant que membre du personnel académique contractuel, en tant que clinicien néonatologiste universitaire, au rang de professeur adjoint ou associé (clinicien). Le rang sera déterminé en fonction des qualifications et de l'expérience des candidats choisis. Ce poste est un poste de professeur contractuel et ne confère pas l'admissibilité à la permanence.
Le Service de pédiatrie du Département de pédiatrie du CHU de Québec - Université Laval est à la recherche de deux médecins spécialistes en pédiatrie de la maltraitance pour compléter son équipe. La réalisation d’une formation académique et une pratique en milieu universitaire sont exigées. Les candidats intéressés doivent faire parvenir les documents demandés d’ici le 18 novembre 2024.
Le Service de pédiatrie du Département de pédiatrie du CHU de Québec - Université Laval est à la recherche d’un médecin spécialiste pour compléter son équipe. La réalisation d’une formation complémentaire d’une durée minimale de douze (12) mois en nutrition clinique et une pratique en milieu universitaire sont exigées. Les candidats intéressés doivent faire parvenir les documents demandés d’ici le 18 novembre 2024.
Le Service de pédiatrie du Département de pédiatrie du CHU de Québec - Université Laval est à la recherche d’un médecin spécialiste pour compléter son équipe. La réalisation d’une formation complémentaire en soins palliatifs pédiatriques d’une durée minimale de douze (12) mois et une pratique en milieu universitaire sont exigées. Les candidats intéressés doivent faire parvenir les documents demandés d’ici le 18 novembre 2024.
Le centre hospitalier régional de Rimouski est à la recherche de pédiatres pour compléter son équipe de 9 postes, 2 PEMs sont disponibles. Pratique hospitalière très diversifiée avec une unité néonatale 2b (32 semaines et plus), soins ambulatoires en médecine de jour, unité d’hospitalisation dédiée à la pédiatrie avec un plateau technique d’investigation complet. La clinique externe a été complètement rénovée avec la réalisation de cliniques spécialisées en diabète, FKP, maltraitance, allergie, obésité. Nous offrons un mentorat pour les nouveaux membres. Carrière en enseignement et recherche clinique. Majoration à 130 % selon l’Annexe 19.
En plus d’une possibilité d’une vie professionnelle complète, la région de Rimouski offre une qualité de vie personnelle et familiale exceptionnelle.
Les pédiatres du CISSS Chaudière-Appalaches secteur Saint-Georges de Beauce souhaitent recruter 2 pédiatres. PEM de 6 (5 en place et 1 retraite prochaine). Travail en deuxième ligne, pratique variée en milieu hospitalier (unité et personnel dédiés mère-enfants) et en clinique externe, avec une équipe multidisciplinaire au centre ambulatoire (infirmières cliniciennes, travailleurs sociaux, psychologue). Niveaux de soins 2A en néonatalogie (pouponnière ≥ 34 semaines, VNI) et 2B en pédiatrie. Cliniques d’asthme, d’allergies respiratoires et alimentaires, de diabète et de développement. Accès privilégié aux pédopsychiatres associés.
Le CISSS-CA Secteur Beauce est affilié à l’Université Laval et accueille chaque année des résidents en pédiatrie, des résidents de l’UMF des Etchemins et des externes donnant accès au titre d’enseignement clinique.
Rémunération mixte à 107%.
Une grande qualité de vie et de pratique, à moins d’une heure de Québec!
L’Hôpital du Haut-Richelieu est à la recherche de pédiatres motivés pour se joindre à une équipe dynamique de 9 autres pédiatres. Le département est en plein essor et l’offre de service s’est vue grandement augmentée au cours des dernières années. L’hôpital dispose actuellement d’une unité d’hospitalisation de 10 lits, d’une pouponnière de niveau 2, d’une unité de médecine ambulatoire et de cliniques externes. La construction d’un nouveau Centre Mère-Enfant débutera sous peu. Par ailleurs, nous avons la chance de travailler en étroite collaboration avec deux infirmières praticiennes spécialisées en pédiatrie et de participer à l’enseignement des externes et des résidents en médecine familiale. Les membres de notre équipe peuvent aussi travailler en bureau au CLSC situé tout près de l’hôpital.
Le service de pédiatrie de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme est en mode recrutement. Des postes sont disponibles dès maintenant! Joignez-vous à notre équipe, qui compte 13 postes au PEM, pour une pratique dynamique avec beaucoup de flexibilité dans une région où la qualité de vie est exceptionnelle, à moins d’une heure de Montréal.
Notre milieu: 18 lits d’hospitalisation, enseignement aux résidents de pédiatrie et du GMF-U, néonatalogie de niveau 2B, 8 lits de soins intermédiaires néonataux, cliniques externes pédiatriques, participation à la trajectoire d’évaluation des enfants présentant des difficultés développementales, possibilité d’intégrer une équipe établie en cabinet. Projet de modernisation de l’hôpital en cours, incluant tous les services liés à la pédiatrie et à la néonatalité.
Le Département de pédiatrie et le service d’infectiologie du CIUSSS de l’Estrie-CHUS sont présentement la recherche d’un(e) infectiologue ou d’un(e) microbiologiste-infectiologue pédiatre pour venir compléter l’équipe. L’augmentation de l’offre de service en oncologie pédiatrique avec l’arrivée d’un 4e hémato-oncologue pédiatre et l’ouverture prochaine du Centre mère-enfant, un nouveau bâtiment entièrement dédié aux soins maternels et pédiatriques, augmentent les besoins en infectiologie pédiatrique.
Le Département de pédiatrie et le service de pédiatrie générale du CIUSSS de l’Estrie-CHUS sont présentement à la recherche de pédiatres pour venir compléter l’équipe.
Les pédiatres du CISSS Chaudière-Appalaches secteur Amiante (Thetford Mines) sont à la recherche d’un pédiatre. PEM de 2. Département fusionné de pédiatrie et centre mère-enfant depuis 2017 avec chambre de naissance et consultante en allaitement. Niveaux de soins 1B. Pouponnière et travail en deuxième ligne varié en milieu hospitalier et en clinique externe avec une équipe multidisciplinaire (infirmières, psychologue, travailleur social). Équipe multidisciplinaire de pédopsychiatrie pour les cas de deuxième ligne, implication à la clinique de
développement et au CRDP. Centre de pédiatrie sociale.
Rémunération mixte à 107%.
Une grande qualité de vie et de pratique, à moins d’une heure de Québec!
L’équipe de pédiatrie générale d’Alma est à la recherche d’un médecin dépanneur à partir du mois de mai 2024. Pour couvrir un congé de maternité qui se terminera à la fin de mars 2025. Un bureau personnel sera mis à la disposition du pédiatre dépanneur durant son séjour. Il est situé en clinique externe, jumelé avec service de pédiatrie de jour. Hospitalisation en pédiatrie avec 7 lits, néonatalogie de niveau 2 A. Nous prenons en charge les nouveau-nés à partir de 34 semaines. 600-700 accouchements par année. Souplesse quant à l’horaire de couverture des gardes selon les disponibilités du médecin dépanneur.
Le service de pédiatrie de l’Hôpital régional de Rimouski recherche des pédiatres intéressés pour combler ponctuellement ou régulièrement les activités hospitalières. La pratique hospitalière est très diversifiée avec une unité néonatale 2b (32 semaines et plus), des soins ambulatoires en médecine de jour et une unité d’hospitalisation dédiée à la pédiatrie avec un plateau technique d’investigation complet. Support de garde pour la néonatalité par les pédiatres locaux avec un système de mentorat. Lettre d’entente 102, rémunération à 120% avec autres incitatifs financiers disponibles.
Environnement urbain dans la nature à proximité qui promet un séjour mémorable dans la région.
Le service de pédiatrie de l’Hôpital du Haut-Richelieu recherche des pédiatres intéressés pour combler de façon ponctuelle ou récurrente des congés de maternité. Situé en Montérégie à 20 minutes de Montréal, l’hôpital comporte 10 lits d’hospitalisation, une pouponnière de niveau 2 et une unité de médecine ambulatoire. Notre équipe dynamique et engagée est habituellement composée de 9 pédiatres et de 2 infirmières praticiennes spécialisées en pédiatrie.
Le CISSS Chaudière-Appalaches secteur Amiante (Thetford Mines) est à la recherche de pédiatres pour dépannage. Département fusionné de pédiatrie et centre mère-enfant depuis 2017 avec chambre de naissance et consultante en allaitement. Niveaux de soins 1B. Pouponnière et travail en deuxième ligne varié en milieu hospitalier et en clinique externe avec une équipe multidisciplinaire (infirmières, psychologue, travailleur social). Équipe multidisciplinaire de pédopsychiatrie pour les cas de deuxième ligne, implication à la clinique de développement et au CRDP. Centre de pédiatrie sociale. Nous avons actuellement la Lettre d’entente 102 (en vigueur pour les médecins dépanneurs et les médecins établis – durée indéterminée).
Rémunération à 107%.
À une heure de route de Québec et de Sherbrooke.
L'Association de pédiatres du Québec vous invite à prendre notes des différentes activités et publications ci-dessous.
Visio conférence
Visio conférence
39, boul. Fridolin-Simard Estérel (Québec) J0T 1E0
39, boul. Fridolin-Simard Estérel (Québec) J0T 1E0
Informations et inscriptions à venir au printemps 2025
1220 Pl. George-V Ouest Québec, QC G1R 5B8
1220 Pl. George-V Ouest Québec, QC G1R 5B8
Informations et inscriptions à venir en décembre 2024
Nous devrons bientôt choisir un nouveau lauréat pour le Prix Letondal 2025.
Nous sollicitons votre collaboration en vous demandant de nous soumettre la candidature d’un membre qui, selon vous, s’est illustré selon un ou plusieurs des critères suivants : son travail, son implication sociale, ses découvertes et accomplissements, sa visibilité et sa crédibilité auprès du public, pour l’approche pédagogique de sa carrière, etc.
Faites nous parvenir votre lettre de présentation au sujet de votre candidat, accompagnée de la signature de deux membres en règle de l’Association, qui résume les raisons motivant votre choix.
Également, la candidature doit être accompagnée du CV récent du pédiatre candidat.
Les candidatures seront acceptées jusqu’au 15 novembre 2024.
Le programme de perfectionnement professionnel de la Société canadienne de pédiatrie aide les besoins d’apprentissage continu des pédiatres, pédiatres surspécialisés, résidents en pédiatrie et autres professionnels de la santé pour enfants à offrir les meilleurs soins aux enfants et adolescents du Canada.
Hilton Québec, 1100 Bd René-Lévesque E, Québec, QC G1R 4P3
Hilton Québec, 1100 Bd René-Lévesque E, Québec, QC G1R 4P3
Congrès annuel 2025 de la SCP
À vos calendriers! Planifiez dès maintenant de rejoindre vos collègues au congrès annuel qui se tiendra du 29 au 31 mai 2025 à Québec!
Centre des congrès de Québec
Hôtel Hilton Québec
Ville de Québec, Québec
Soumettez vos propositions de séminaires et d’ateliers avant le 15 septembre. L'appel à propositions(séminaires et ateliers) est maintenant ouvert!
L'appel à communications (affiches) sera lancé quant à lui en septembre 2024.
Consultez le site web du CHU Sainte-Justine pour voir toutes les formations offertes
Le SCF offre un service d’organisation d’activités de formation dans le réseau de la santé : conférences annuelles en grand groupe, ateliers en petits groupes, cours annuels obligatoires, le tout en présentiel, en virtuel ou en formule hybride.
Pour connaître l’étendue des services offerts, consultez leur page web.
Pour ne rien manquer des congrès et formations organisés par le Service congrès et formation, abonnez-vous au calendrier des activités à venir, envoyé par courriel une fois par mois OU à leur page Facebook : https://www.facebook.com/congreschusj
Zoom
Zoom
Le CHU Sainte-Justine offre une possibilité de développement professionnel continu de 5 séances de télémentorat via Zoom, du 16 janvier 2025 au 8 mai 2025,
de 12 h 15 à 13 h 30
Le déroulement consiste en une séance de 75 min, les jeudis, aux quatre semaines.
Chaque séance comprend la présentation d’une capsule didactique par un(e) expert(e) ainsi que la
discussion d’un cas soumis par un(e) participant(e).
3175 Chem. de la Côte-Sainte-Catherine Montréal, QC
3175 Chem. de la Côte-Sainte-Catherine Montréal, QC
Le Service congrès et formation (SCF) de la Direction de l’enseignement du CHU Sainte-Justine offre un support logistique pour l’organisation de vos activités de formation : conférences annuelles en grand groupe, ateliers en petits groupes, cours annuels obligatoires, le tout en présentiel, en virtuel ou en formule hybride. Nos services sont offerts aux équipes du CHU Sainte-Justine et aux organisations du secteur de la santé.
La Faculté de médecine et des sciences de la santé (FMSS) de l’Université de Sherbrooke souscrit, aux principes d'apprentissage à vie. De ce fait, le Centre de formation continue (CFC) se positionne stratégiquement en aval des programmes à grade de la faculté. Il a pour mission de contribuer au maintien et au développement des compétences des professionnels de la santé en exercice.
En webdiffusion seulement
Ouverture des inscriptions des cours de réanimation néonatale (NRP) dans la semaine du 7 juillet :
NRP – Cours de réanimation néonatale
NRP – Cours de réanimation néonatale – INSTRUCTEUR
L’Hôpital de Montréal pour enfants offre plusieurs opportunités aux partenaires du réseau pour parfaire leurs connaissances en pédiatrie. En plus des congrès annuels, il y a la possibilité de se joindre aux réunions scientifiques hebdomadaires du département de pédiatrie, ainsi qu’à d’autres formations.
L’Hôpital de Montréal pour enfants offre plusieurs opportunités aux partenaires du réseau pour leurs connaissances en pédiatrie. En plus des congrès annuels, il y a la possibilité de se joindre aux réunions scientifiques hebdomadaires du département de pédiatrie, ainsi qu’à d’autres formations.
Voulez-vous être sur la liste d’envoi pour les activités de DPC de l’Hôpital de Montréal pour enfants? Si oui, envoyez un courriel à peds.cpd@muhc.mcgill.ca.
Pour plus d’informations sur l’ensemble des activités éducatives offerts par ce service, consultez le site web Développement professionnel continu - Hôpital de Montréal pour enfants (hopitaldemontrealpourenfants.ca)
Problèmes pratiques en pédiatrie
5 et 6 février 2025
(en présentiel au Palais de Congrès de Montréal ainsi qu’en mode différé)
Journée annuelle de spécialité en maladies infectieuses
7 février 2025
(en virtuel et en différé)
Pour accès à l’agenda et pour vous inscrire, visitez https://pediatricsmcgill.ca/fr/
Un seul numéro pour toutes les requêtes à l’Hôpital de Montréal pour enfants
514-412-4242
L’an dernier, l’Hôpital de Montréal pour enfants (HME) a mis en place une ligne directe pour médecins pour simplifier l’accès à ses spécialistes en pédiatrie (0-18 ans). La communication entre les médecins référents et ceux de l’HME n’a jamais été aussi facile !
Pour rejoindre l’HME, il n’y a qu’un numéro à composer : 514-412-4242.
Toutes les requêtes provenant de centres hospitaliers référents peuvent ainsi transiter par le numéro unique :
• Consultations téléphoniques
• Demandes de transfert
• Transport terrestre spécialisé
• Conseils de réanimation
• Traumatologie
• Sous-spécialités médicales ou chirurgicales
• Psychiatrie
• Consultations pédiatriques générales
En service depuis un an, la ligne directe a déjà simplifié le travail de plusieurs professionnels comme la Dre Charlotte Payette-Toupin : « J'ai beaucoup apprécié mon expérience avec le Centre de coordination d'accès aux soins et son numéro unique. C'est un système efficace et bien organisé qui donne accès rapidement à un médecin répondant, le tout avec une téléphoniste qui demeurait en ligne lors de la discussion avec le médecin pour garder la communication fluide et effectuer le transfert téléphonique au besoin ».
N’hésitez pas à l’utiliser !
Pour toute question, veuillez écrire à : catherine.bouchard@muhc.mcgill.ca
Cordialement,
L’équipe du Centre de coordination d’accès aux soins
Hôpital de Montréal pour enfants du Centre universitaire de santé McGill
One number for all referrals to the Montreal Children's Hospital
514-412-4242
Last year, the Montreal Children's Hospital (MCH) has set up a direct phone line for physicians to streamline access to our pediatric specialists (0-18 years old). Communication between referring physicians and those at the MCH has never been easier!
To reach the MCH, there is only one number to call: 514-412-4242.
All requests from referring hospitals can be answered through this single number:
• Phone consults
• Transfer requests
• Specialized ground transport
• Resuscitation advice
• Traumatology
• Medical or surgical subspecialties
• Psychiatry
• General pediatric consultations
In service for a year now, the phone line has already simplified the work of many professionals, like Dr. Charlotte Payette-Toupin: "I really appreciated my experience with the Access Care Coordination Centre and its single number. It's an efficient, well-organized system that provides rapid access to a responding physician, all with an operator who stays on the line during the discussion with the doctor to keep communication flowing and make the phone transfer if necessary."
Don't hesitate to use it!
If you have any questions, please write to catherine.bouchard@muhc.mcgill.ca
Sincerely,
The Access Care Coordination Centre team
Montreal Children’s Hospital of the McGill University Health Centre
1001, Place Jean-Paul-Riopelle Montréal, QC
1001, Place Jean-Paul-Riopelle Montréal, QC
L'Université Laval vous invite à consulter ses différentes activités d'apprentissage pour les mois à venir.
1220 Pl. George-V Ouest, Québec, Québec G1R 2K4
1220 Pl. George-V Ouest, Québec, Québec G1R 2K4
Le comité scientifique de l’Association des médecins en protection de l’enfance du Québec (AMPEQ) tiendra son congrès annuel le 30 avril 2025, au Château Laurier à Québec.
Si vous prévoyiez d'assister au congrès de l'Association des pédiatres du Québec, qui se tiendra au même endroit le lendemain, pourquoi ne pas profiter de l’occasion pour participer aux deux événements ?
Visio conférence
Visio conférence
39, boul. Fridolin-Simard Estérel (Québec) J0T 1E0
39, boul. Fridolin-Simard Estérel (Québec) J0T 1E0
Informations et inscriptions à venir au printemps 2025
1220 Pl. George-V Ouest, Québec, Québec G1R 2K4
1220 Pl. George-V Ouest, Québec, Québec G1R 2K4
Le comité scientifique de l’Association des médecins en protection de l’enfance du Québec (AMPEQ) tiendra son congrès annuel le 30 avril 2025, au Château Laurier à Québec.
Si vous prévoyiez d'assister au congrès de l'Association des pédiatres du Québec, qui se tiendra au même endroit le lendemain, pourquoi ne pas profiter de l’occasion pour participer aux deux événements ?
Zoom
Zoom
Le CHU Sainte-Justine offre une possibilité de développement professionnel continu de 5 séances de télémentorat via Zoom, du 16 janvier 2025 au 8 mai 2025,
de 12 h 15 à 13 h 30
Le déroulement consiste en une séance de 75 min, les jeudis, aux quatre semaines.
Chaque séance comprend la présentation d’une capsule didactique par un(e) expert(e) ainsi que la
discussion d’un cas soumis par un(e) participant(e).
Hilton Québec, 1100 Bd René-Lévesque E, Québec, QC G1R 4P3
Hilton Québec, 1100 Bd René-Lévesque E, Québec, QC G1R 4P3
Congrès annuel 2025 de la SCP
À vos calendriers! Planifiez dès maintenant de rejoindre vos collègues au congrès annuel qui se tiendra du 29 au 31 mai 2025 à Québec!
Centre des congrès de Québec
Hôtel Hilton Québec
Ville de Québec, Québec
Soumettez vos propositions de séminaires et d’ateliers avant le 15 septembre. L'appel à propositions(séminaires et ateliers) est maintenant ouvert!
L'appel à communications (affiches) sera lancé quant à lui en septembre 2024.
1220 Pl. George-V Ouest Québec, QC G1R 5B8
1220 Pl. George-V Ouest Québec, QC G1R 5B8
Informations et inscriptions à venir en décembre 2024
L’Hôpital de Montréal pour enfants offre plusieurs opportunités aux partenaires du réseau pour leurs connaissances en pédiatrie. En plus des congrès annuels, il y a la possibilité de se joindre aux réunions scientifiques hebdomadaires du département de pédiatrie, ainsi qu’à d’autres formations.
Voulez-vous être sur la liste d’envoi pour les activités de DPC de l’Hôpital de Montréal pour enfants? Si oui, envoyez un courriel à peds.cpd@muhc.mcgill.ca.
Pour plus d’informations sur l’ensemble des activités éducatives offerts par ce service, consultez le site web Développement professionnel continu - Hôpital de Montréal pour enfants (hopitaldemontrealpourenfants.ca)
Problèmes pratiques en pédiatrie
5 et 6 février 2025
(en présentiel au Palais de Congrès de Montréal ainsi qu’en mode différé)
Journée annuelle de spécialité en maladies infectieuses
7 février 2025
(en virtuel et en différé)
Pour accès à l’agenda et pour vous inscrire, visitez https://pediatricsmcgill.ca/fr/
Un seul numéro pour toutes les requêtes à l’Hôpital de Montréal pour enfants
514-412-4242
L’an dernier, l’Hôpital de Montréal pour enfants (HME) a mis en place une ligne directe pour médecins pour simplifier l’accès à ses spécialistes en pédiatrie (0-18 ans). La communication entre les médecins référents et ceux de l’HME n’a jamais été aussi facile !
Pour rejoindre l’HME, il n’y a qu’un numéro à composer : 514-412-4242.
Toutes les requêtes provenant de centres hospitaliers référents peuvent ainsi transiter par le numéro unique :
• Consultations téléphoniques
• Demandes de transfert
• Transport terrestre spécialisé
• Conseils de réanimation
• Traumatologie
• Sous-spécialités médicales ou chirurgicales
• Psychiatrie
• Consultations pédiatriques générales
En service depuis un an, la ligne directe a déjà simplifié le travail de plusieurs professionnels comme la Dre Charlotte Payette-Toupin : « J'ai beaucoup apprécié mon expérience avec le Centre de coordination d'accès aux soins et son numéro unique. C'est un système efficace et bien organisé qui donne accès rapidement à un médecin répondant, le tout avec une téléphoniste qui demeurait en ligne lors de la discussion avec le médecin pour garder la communication fluide et effectuer le transfert téléphonique au besoin ».
N’hésitez pas à l’utiliser !
Pour toute question, veuillez écrire à : catherine.bouchard@muhc.mcgill.ca
Cordialement,
L’équipe du Centre de coordination d’accès aux soins
Hôpital de Montréal pour enfants du Centre universitaire de santé McGill
One number for all referrals to the Montreal Children's Hospital
514-412-4242
Last year, the Montreal Children's Hospital (MCH) has set up a direct phone line for physicians to streamline access to our pediatric specialists (0-18 years old). Communication between referring physicians and those at the MCH has never been easier!
To reach the MCH, there is only one number to call: 514-412-4242.
All requests from referring hospitals can be answered through this single number:
• Phone consults
• Transfer requests
• Specialized ground transport
• Resuscitation advice
• Traumatology
• Medical or surgical subspecialties
• Psychiatry
• General pediatric consultations
In service for a year now, the phone line has already simplified the work of many professionals, like Dr. Charlotte Payette-Toupin: "I really appreciated my experience with the Access Care Coordination Centre and its single number. It's an efficient, well-organized system that provides rapid access to a responding physician, all with an operator who stays on the line during the discussion with the doctor to keep communication flowing and make the phone transfer if necessary."
Don't hesitate to use it!
If you have any questions, please write to catherine.bouchard@muhc.mcgill.ca
Sincerely,
The Access Care Coordination Centre team
Montreal Children’s Hospital of the McGill University Health Centre
1001, Place Jean-Paul-Riopelle Montréal, QC
1001, Place Jean-Paul-Riopelle Montréal, QC
En webdiffusion seulement
Ouverture des inscriptions des cours de réanimation néonatale (NRP) dans la semaine du 7 juillet :
NRP – Cours de réanimation néonatale
NRP – Cours de réanimation néonatale – INSTRUCTEUR
3175 Chem. de la Côte-Sainte-Catherine Montréal, QC
3175 Chem. de la Côte-Sainte-Catherine Montréal, QC
Le Service congrès et formation (SCF) de la Direction de l’enseignement du CHU Sainte-Justine offre un support logistique pour l’organisation de vos activités de formation : conférences annuelles en grand groupe, ateliers en petits groupes, cours annuels obligatoires, le tout en présentiel, en virtuel ou en formule hybride. Nos services sont offerts aux équipes du CHU Sainte-Justine et aux organisations du secteur de la santé.